« Gabriel García Márquez » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
→‎Cent ans de solitude : restauration de la citation apportée par Benjamindu73 le 28 décembre 2011 (source plus précise et quelques retouches)
Ligne 8 :
{{citation|citation=Un jour que le père Nicanor s'en vint le voir sous son châtaignier avec un damier et une boîte de jetons pour le convier à jouer aux dames avec lui, José Arcadio Buendia ne voulut point accepter car, lui dit-il, jamais il n'avait pu comprendre quel sens pouvait revêtir un combat entre deux adversaires d'accord sur les mêmes principes.|original=|langue=es|précisions=}}
{{Réf Livre|titre=Cent ans de solitude|auteur=Gabriel Garcia Marquez|éditeur=Seuil|année=1995|collection=Points|page=94|chapitre=5|traducteur=Claude et Carmen Durand|année d'origine=1968}}
 
{{Citation
|citation=Actuellement, la seule différencre entre libéraux et conservateurs, c’est que les libéraux vont à la messe de cinq heures et les conservateurs à celle de huit heures.}}
 
{{Réf Livre
|titre=Cent ans de solitude
|auteur=Gabriel García Márquez
|éditeur=Seuil
|année=1995
|collection=Points
|page=257
|traducteur=Claude et Carmen Durand
|année d'origine=1968}}
 
{{citation|citation=Mais avant d’arriver au vers final, il avait déjà compris qu’il ne sortirait jamais de cette chambre, car il était dit que la cité des miroirs (ou des mirages) serait rasée par le vent et bannie de la mémoire des hommes à l’instant où Aureliano Babilonia achèverait de déchiffrer les parchemins, et que tout ce qui y était écrit demeurait depuis toujours et resterait à jamais irrépétible, car aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n’était pas donné sur terre de seconde chance. |original=|langue=|précisions=Explicit du roman}}