« Instruction publique » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m cat + précise
Motisse38 (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 :
Le ministère de l''''{{w|Instruction publique}}''' est le nom donné à l'actuel ministère de l'[[w:Ministère de l'Éducation nationale|Éducation nationale]], de la [[Révolution]] à {{w|1932}} en France. Par extension on peut rencontrer la même appellation pour les départements équivalents dans les divers pays francophones.
 
====[[Gracchus Babeuf]]====
== Citations ==
{{Citation|L'éducation est une monstruosité lorsqu'elle est inégale, lorsqu'elle est le patrimoine exclusif d'une portion de l'association; puisqu'alors elle devient la main de cette portion, un amas de machines, une provisions d'armes de toutes sortes, à l'aide desquelles cette première portion combat l'autre qui est désarmé.
|précisions=Manifeste des Plébéiens}}
{{Réf Livre|titre=in Gracchus Babeuf avec les Egaux
|auteur=Jean-Marc Shiappa
|éditeur=Les éditions ouvrières
|année=1991
|page=49
|ISBN=27082 2892-7}}
 
{{Citation|Nul ne peut par l'accumulation de tous les moyens priver l'autre de l'instruction nécessaire pour son bonheur; l'instruction doit-être commune.
|précisions=Manifeste des Plébéien}}
{{Réf Livre|titre=in Gracchus Babeuf avec les Egaux
|auteur=Jean-Marc Shiappa
|éditeur=Les éditions ouvrières
|année=1991
|page=49
|ISBN=27082 2892-7}}
 
====Boris Engelson====
{{citation
|citation=La litanie "l'égalité des chances" est au Département de l'instruction publique ce que la vie éternelle est à la religion chrétienne : une raison de (mal) vivre et de payer le clergé.}}
Ligne 11 ⟶ 30 :
|date=14 décembre 2009
|page=47}}
 
==== [[Victor Hugo]] ====
{{citation|<poem>
l'enfant ne sera plus
Une bête de somme attelée à Virgile ;
Et l'on ne verra plus ce vif esprit agile
Devenir, sous le fouet d'un cuistre ou d'un abbé,
Le lourd cheval poussif du pensum embourbé.
Chaque village aura, dans un temple rustique,
Dans la lumière, au lieu du magister antique,
Trop noir pour que jamais le jour y pénétrât,
L'instituteur lucide et grave, magistrat
Du progrès, médecin de l'ignorance, et prêtre
De l'idée; et dans l'ombre on verra disparaître
L'éternel écolier et l'éternel pédant.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Les Contemplations
|auteur=Victor Hugo
|éditeur=Hachette
|année=1858
|page=64-65
|tome=1}}
 
{{interprojet|w=Instruction publique}}