« Tendresse » : différence entre les versions

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{{Réf Livre|titre=L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes|auteur=[[Antonin Artaud]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie/Gallimard|année=1956|partie=L'Art et la Mort|section=« ''Qui au sein...'' »|page=135}}
 
==== [[Alberto Eiguer]], ''Psychanalyse du libertin'', 2010 ====
 
{{citation|citation=Ni l'addict sexuel ni le libertin ne parviennent pourtant à entretenir la relation à autrui, à la cultiver ou à la développer ; l'addict sexuel, parce qu'il est trop pressé, trop désespéré de trouver l'idéal de tendresse dont il a manqué ; le libertin, par inappétence de lien.}}
{{Réf Livre|titre=Psychanalyse du libertin|auteur=[[Alberto Eiguer]]|éditeur=Dunot|collection=Psychismes|année=2010|page=36|partie=I. Libertinage, le plaisir et la joie|chapitre=Prendre l'amour comme une drogue|section=|ISBN=978-2-10-054958-0}}
 
====François (pape)====
==Citations à revoir, enlever etc..==
{{citation|citation=Nous ne devons pas avoir peur de la bonté, de la tendresse !
==== [[Choderlos de Laclos]], ''Traité sur l'éducation des femmes'', 1903 ====
Dans les Évangiles, saint Joseph apparaît comme un homme fort, courageux, travailleur, mais dans son âme émerge une grande tendresse, qui n’est pas la vertu du faible, mais au contraire, dénote une force d’âme et une capacité d’attention, de compassion, de vraie ouverture à l’autre, d’amour. Nous ne devons pas avoir peur de la bonté, de la tendresse !|précisions=Messe solennelle d'inauguration du pontificat, mardi 19 mars 2013}}
''' Des femmes et de leur éducation '''
{{Réf Pub|nom=[[w:François (pape)|François]]|date=24 mars 2013|lieu=Rome|source=Saint Siège|auteur=François (Pape)|url=http://www.vatican.va/holy_father/francesco/homilies/2013/documents/papa-francesco_20130319_omelia-inizio-pontificato_fr.html}}
{{Citation|citation=Cherchons, au moins, dans notre imagination, ce que la société ne nous présente pas. Créons à notre gré une femme parfaitement heureuse, autant au moins que l'humanité le comporte ; ce sera celle qui, née d'une mère tendre, n'aura pas été livrée en naissant aux soins d'une mercenaire ; qui, plus grande, aura été élevée sous les yeux d'une institutrice également indulgente, sage et éclairée qui, sans jamais la contraindre, et sans l'ennuyer de ses leçons, lui aura donné toutes les connaissances utiles et l'aura exemptée de tous les préjugés.}}
 
{{Réf Livre|titre=Traité sur l'éducation des femmes précédé|auteur=[[Choderlos de Laclos]]|éditeur=Pocket|collection=Agora|année=2009|année d'origine=1903|page=63|partie=Des femmes et de leur éducation|chapitre=VIII. Réflexions sur ce qui précède|ISBN=978-2-266-18855-5}}
====Doris Lessing====
{{citation
|citation=Je me rappelle la sensation de la délicate pression de sa main au creux de mes reins, et je me rappelle avoir songé que, vivant en groupe comme nous le faisions, ces brusques attirances pouvaient surgir et s'estomper en un instant, laissant derrière elles une tendresse, une curiosité insatisfaites, et un sentiment de perte légèrement douloureux, mais pas déplaisant ; et je pensai que c'était peut-être toute cette peine tendre des possibilités irréalisées qui nous liait.}}
{{Réf Livre
|auteur=Doris Lessing
|éditeur=Albin Michel
|collection=Le livre de poche
|titre=Le carnet d'or
|année=1976
|traducteur=Marianne Véron
|page=144
|chapitre=''Le carnet noir''
}}
 
==== [[Annie Le Brun]], ''Le Carreau sans coeur'', 1964 ====
{{Citation|citation=<poem>Je garde une préférence inconditionnelle pour la durée du jeu de mes doigts à saute-mouton dans la laine de ta chaleur
Il ne s'agit déjà plus de tendresse.</poem>}} {{Réf Article|titre=Le Carreau sans coeur|auteur=[[Annie Le Brun]]|publication=La Brèche|numéro=7|date=Décembre 1964|page=58}}
 
 
==== [[André Breton]], ''Poisson soluble'', 1924 ====
{{Citation|citation=La pluie commence à tomber, c'est une grâce éternelle et elle comporte les plus tendres reflets.}}
{{Réf Livre|titre=Poisson soluble|auteur=[[André Breton]]|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1996|année d'origine=1924|page=38|partie=4|ISBN=2-07-032917-8}}
==== [[Robert Desnos]], ''La liberté ou l'amour !'', 1927 ====
{{citation|citation=Qu’elle vienne celle que j’aimerai, au lieu de vous raconter des histoires merveilleuses (j’allais dire à dormir debout). Ô satisfaction nocturne, angoisse de l’aube, émoi des confidences, tendresse du désir, ivresse de la lutte, merveilleux flottement des matinées d’après l’amour.}}
{{Réf Livre|titre=La liberté ou l'amour !|auteur=[[Robert Desnos]]|éditeur=Gallimard|collection=L'Imaginaire|année=1962|année d'origine=1927|page=44|section=IV. La brigade des jeux|ISBN=978-2-07-027695-0}}
 
==== [[Vladimir Nabokov]], ''L'Enchanteur'', 1939 ====
{{citation|citation=Avec un bref mugissement destiné à simuler la tendresse il posa un bécot sur son front, qui était aussi froid que du fromage blanc.}}
{{Réf Livre|titre=L'enchanteur|auteur=[[Vladimir Nabokov]]|éditeur=Seuil (Points)|année=1986|page=52|traducteur=Gilles Barbedette|année d'origine=1939}}
 
==== [[Jacques Abeille]], ''Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques'', 1964 ====
{{Citation|citation=<poem>Les représentations imaginaires oscillent précisément entre ces deux pôles : des représentations « Sadiennes » avec accumulation de détails d'une violence à peine supportable alternant régulièrement avec des bouffées de la tendresse la plus ineffable qui révèle l'objet de mon amour dans toute sa pureté et dans toute sa souveraineté. Evidemment cette succession de représentations constitue un rythme qui va se précipitant jusqu'à une synthèse finale.
Ce rythme, tout comme la forme de cette synthèse même, échappent à mon contrôle. Il m'est possible de stimuler les représentations mais ni de les provoquer, ni de les éviter, ni même de les inhiber.
[...] Seules les forces vives de l'imagination constituent la sauvegarde de mon amour.
Elles orchestrent à elles seules cette généreuse synthèse. Se succédant régulièrement — imbriquées l'une dans l'autre — mouvement de l'amour.</poem>|précisions=Réponse de Jacques Abeille à l'interrogation suivante : ''Comment se caractérisent vos représentations imaginaires dans l'acte d'amour ? Justifient-elles un jugement de valeur ? Sont-elles spontanées ou volontaires ? se succèdent-elles dans un ordre fixe ? Lequel ?'' — Il est clairement question d'une enquête initiée par la revue surréaliste ''La Brèche'' en décembre 1964.}} {{Réf Article|titre=Premières réponses à l'enquête sur les représentations érotiques|auteur=[[Jacques Abeille]]|publication=La Brèche|numéro=7|date=Décembre 1964|page=84}}