« François Rabelais » : différence entre les versions

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orthographe
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précision + chapitre
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| langue = fr
| original =« Panurge n'eut pas achevé ce mot que tous les chiens présents dans l'église accoururent à cette dame, en raison des drogues répandues sur elles. Petits et grands, gros et menus, tous venaient, tirant le membre et la sentant et pissant partout sur elle.»
|précisions =Panurge tire la drogue des entrailles d'une chienne en chaleur.
}}
{{Réf Livre |auteur=Rabelais|page=307|année=1964|année de la contribution=1542|éditeur=Gallimard|titre=Pantagruel|chapitre=XXII, « Comment Panurge feist un tour à la dame Parisianne qui ne fut poinct à son advantaige » | s=}}
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| original =Le temps n'est plus de conquérir les royaumes en détruisant son prochain, son frère chrétien, cette imitation des anciens Hercule, Alexandre, Hannibal, Scipion, César et semblables : agir comme tel est contraire à l'enseignement de l'évangile par lequel nous est commandé par, garder, sauver, régir et administrer chacun ses pays et terres, non envahir les autres avec hostilité. Ce que les Sarrasins et les Barbares appelèrent jadis prouesses, maintenant nous l'appelons pillages et malfaisance.
}}
{{Réf Livre |auteur=Rabelais|année=2007|année d'origine=1542|éditeur=Gallimard|titre=Gargantua|chapitre=XLVI, « Comment Grandgousier traicta humainement Toucquedillon prisonnier »|page=409}}
 
{{Citation|citation={{personnage|Grandgrousier}}<br/>Toute leur vie estoit employée non par loix, statuz ou reigles, mais selon leur vouloir et franc arbitre. Se levoient du lict quand bon leur sembloit : beuvoient, mangeoient, travailloient, dormoient quand le desir leur venoit. Nul ne les esveilloit, nul ne les parforceoit ny à boyre ny a manger, ny à faire chose aultre quelconques. Ainsi l'avoit estably Gargantua. En leur reigle n'estoit que ceste clause. ''Fay ce que vouldras.'' Parce que gens liberes, biens nez, bien instruictz, conversans en compaignies honnestes ont par nature un instinct, et aiguillon, qui tousjours les poulse à faictz vertueux, et retire du vice, lequel ilz nommoient honneur.