« Dieu » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Motisse38 (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Motisse38 (discussion | contributions)
Etapes précédentes : suppression de citations non pertinentes. Rangement
Ligne 1 :
Dans les religions monothéistes, '''[[w:Dieu|Dieu]]''' désigne une entité suprême, unique, immatérielle, dotée d'une puissance surnaturelle et d'une perfection absolue. Selon ces religions, lui sont le plus souvent attribués les caractères d'infini, ominiscience, d'Éternité, toute puissance et de démiurgie, c'est-à-dire d'avoir créé le monde. Considéré comme un nom propre dans la langue française1, le nom « Dieu » prend une majuscule.
 
Voir aussi [[Religion]]
 
==Bible==
===Fausto Cercignani===
{{citation|La thèse que l’être humain cherche [[Dieu]] à cause du [[chaos|désordre]] qu’il perçoit en soi ne tient pas compte que l’être humain semble préférer le désordre.
|original=The thesis that the human being seeks God because of the disorder he perceives in himself does not take into account that the human being seems to prefer disorder.
|langue=en}}
{{Réf Livre|titre= Simplement Transcrites. Citations de [[Fausto Cercignani]] (titre original: Simply Transcribed. Quotations from Fausto Cercignani)
|auteur=Brian Morris
|éditeur=Lulu Press (Raleigh, NC, USA), http://www.lulu.com/
|année=2013, 2ème éd. 2014
|page=35}}
 
=== Saint Jean, [[Allans:La KardecBible|La Bible]], ''LeNouveau Livre des EspritsTestament'', 1857 ===
{{citation|citation=Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.}}
{{citation|citation=<poem>
{{Réf Livre|titre=La Bible|auteur=Saint Jean|éditeur=Edition Internationale VIE|année=1980|page=127|tome=|partie=Nouveau Testament|chapitre=3|traducteur=Louis Segond|année d'origine=1910|vers=16|s=La Bible|langue=}}
Question n°4 : Où peut-on trouver la preuve de l’existence de Dieu ?
Réponse : "Dans un axiome que vous appliquez à vos sciences : il n’y a pas d’effet sans cause. Cherchez la cause de tout ce qui n’est pas l'œuvre de l’homme, et votre raison vous répondra."
 
{{citation|citation=Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l'amour est de Dieu et que quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n'aime pas n'a pas connu Dieu, car Dieu est amour.}}
Question n°9 : Où voit-on dans la cause première une intelligence suprême et supérieure à toutes les intelligences ?
{{Réf Livre|titre=La Bible|auteur=Saint Jean|éditeur=Cerf|année=1955|page=1610|partie=Première lettre de Jean|chapitre=4|traducteur=École Biblique de Jérusalem|vers=16|s=|langue=}}
Réponse : "Vous avez un proverbe qui dit ceci : à l'œuvre, on reconnaît l’ouvrier. Eh bien ! Regardez l'œuvre et cherchez l’ouvrier. C’est l’orgueil qui engendre l’incrédulité. L’homme orgueilleux ne veut rien au-dessus de lui, c’est pourquoi il s’appelle esprit fort. Pauvre être, qu’un souffle de Dieu peut abattre !"
 
{{citation|citation=Et nous, nous avons reconnu l'amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour : celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu et Dieu demeure en lui.}}
On juge la puissance d’une intelligence par ses œuvres ; nul être humain ne pouvant créer ce que produit la nature, la cause première est donc une intelligence supérieure à l’humanité.
{{Réf Livre|titre=La Bible|auteur=Saint Jean|éditeur=Cerf|année=1955|page=1610|partie=Première lettre de Jean|chapitre=4|traducteur=École Biblique de Jérusalem|vers=7-8|s=|langue=}}
Quels que soient les prodiges accomplis par l’intelligence humaine, cette intelligence a elle-même une cause, et plus ce qu’elle accomplit est grand, plus la cause première doit être grande. C’est cette intelligence qui est la cause première de toutes choses, quel que soit le nom sous lequel l’homme l’a désignée.
</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Le livre des Esprits|auteur=Allan Kardec|éditeur=Dervy|année=2000|page=2|année d'origine=1857}}
 
==XVIIè siècle==
 
=== [[Blaise Pascal]], ''Pensées'', 1669 ===
{{citation|C'est une sphère infinie dont le centre est partout et la circonférence nulle part.
|précisions=Citation du {{w|Livre des XXIV philosophes}}}}
{{réf Livre|titre=Pensées de Blaise Pascal|auteur=[[Blaise Pascal]]|éditeur=L. de Bure|année=1923|année d'origine=1670|partie=Article IV (« Connaissance générale de l'homme »)|page=74}}
 
=== Filippo Mignini sur Spinoza ===
=== Robert Sabatier, ''Dictionnaire de la mort'', 1967 ===
{{citation|citation=<poem>Dans le ''Court traité'' (II, chap. XXVI), Spinoza affirme expressément que la connaissance de Dieu par l'intellect est immédiate [...].
{{citation|On tue un homme, on est un assassin. On tue des millions d'hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu.|précisions=Ces propos sont de [[:w:Jean Rostand|Jean Rostand]] et datent de 1954.}}
L'intellect ne se constitue dans un esprit existant en acte que lorsque l'idée de Dieu s'y trouve. L'intelligence, entendue comme troisième genre, n'existe ni avant ni sans cette idée. Parmi les hommes, ceux qui ne l'ont pas sont privés d'intellect (en tant que troisième genre de connaissance), et c'est la majorité de l'humanité.</poem>|précisions=Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.}}
{{Réf Pub|nom=[[:w:Jean Rostand|Jean Rostand]]|date= 1954|lieu=Pensées d'un biologiste|source= Dictionnaire de la mort |parution=chez Albin Michel, 1967, p.246|auteur= Robert Sabatier}}
{{Réf Article|titre=Dieu tout-pensant |auteur=Filippo Mignini|publication=Le Magazine Littéraire |numéro=493|date=Janvier 2010|page=76}}
 
==XVIIIè siècle==
 
=== [[Louis XIV]], Suite à la bataille de Malplaquet, XVIIIè siècle ===
Ligne 37 ⟶ 34 :
{{Réf Livre|titre=La France sous Louis XIV : 1643-1715|auteur={{w|Eugène Bonnemère}}|éditeur=inconnu|année=1865|volume=2|page=101}}
 
==XIXeme siècle==
 
=== [[Michel Bakounine]], ''Dieu et l'État'', 1882 ===
{{Citation|citation=Si Dieu existait réellement, il faudrait le faire disparaître.}}
{{Réf Livre|titre=Dieu et l'Etat|auteur=Michel Bakounine|éditeur=Mille et une nuits|collection=La Petite Collection|année=1882|page=29|ISBN=2-84205-074-6|année d'origine=1882|s=Dieu et l'Etat}}
 
=== [[Charles Baudelaire]], ''Mon cœur mis à nu'', 1864 ===
Ligne 42 ⟶ 44 :
{{Réf Livre|titre=Œuvres complètes|titre de la contribution=Mon cœur mis à nu|auteur=[[Charles Baudelaire]]|éditeur=Robert Laffont|année=2004|page=415|année d'origine=1980|collection=Bouquins}}
 
=== [[CharlesFriedrich BukowskiEngels]], ''Journal d'un vieux dégueulasseAnti-Dühring'', 19691878 ===
{{citation|citation=A un stade plus avancé encore de l'évolution, l'ensemble des attributs naturels et sociaux des dieux nombreux est reporté sur un seul dieu tout-puissant, qui n'est lui-même à son tour que le reflet de l'homme abstrait. C'est ainsi qu'est né le monothéisme, qui fut dans l'histoire le dernier produit de la philosophie grecque vulgaire à son déclin et trouva son incarnation toute prête dans le Dieu national exclusif des Juifs, Yahvé.}}
{{citation|citation=j'aime mieux qu'on me raconte la vie d'un clochard américain que celle d'un dieu grec mort.}}
{{Réf Livre|titre=Journal d'un vieux dégueulasseAnti-Dühring|auteur=[[CharlesFriedrich BukowskiEngels]]|éditeur=GrassetEditions & Fasquelle|collection=Le Livre de Pochesociales|année=19691971|année d'originepage=1996353|pagechapitre=249V. Etat, famille, éducation|ISBNtraducteur=978-2-253-14384-0Emile Bottigelli}}
 
 
=== [[Jules Renard]], ''Journal 1887-1910'', 1925 ===
=== [[Allan Kardec]], ''Le Livre des Esprits'', 1857 ===
{{citation|Dieu, celui que tout le monde connaît, de nom.}}
{{citation|citation=<poem>
{{Réf Livre|titre=Journal 1887-1910|auteur=Jules Renard
Question n°4 : Où peut-on trouver la preuve de l’existence de Dieu ?
|éditeur=Actes Sud|année=1995|ISBN=2-7427-5216-1
Réponse : "Dans un axiome que vous appliquez à vos sciences : il n’y a pas d’effet sans cause. Cherchez la cause de tout ce qui n’est pas l'œuvre de l’homme, et votre raison vous répondra."
|page=107}}
 
Question n°9 : Où voit-on dans la cause première une intelligence suprême et supérieure à toutes les intelligences ?
Réponse : "Vous avez un proverbe qui dit ceci : à l'œuvre, on reconnaît l’ouvrier. Eh bien ! Regardez l'œuvre et cherchez l’ouvrier. C’est l’orgueil qui engendre l’incrédulité. L’homme orgueilleux ne veut rien au-dessus de lui, c’est pourquoi il s’appelle esprit fort. Pauvre être, qu’un souffle de Dieu peut abattre !"
 
On juge la puissance d’une intelligence par ses œuvres ; nul être humain ne pouvant créer ce que produit la nature, la cause première est donc une intelligence supérieure à l’humanité.
Quels que soient les prodiges accomplis par l’intelligence humaine, cette intelligence a elle-même une cause, et plus ce qu’elle accomplit est grand, plus la cause première doit être grande. C’est cette intelligence qui est la cause première de toutes choses, quel que soit le nom sous lequel l’homme l’a désignée.
</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Le livre des Esprits|auteur=Allan Kardec|éditeur=Dervy|année=2000|page=2|année d'origine=1857}}
 
=== [[Donatien Alphonse François de Sade]], ''La philosophie dans le boudoir'', 1795 ===
Ligne 56 ⟶ 66 :
{{Personnage|Dolmancé}} : Il faut avoir perdu le sens pour y croire. Fruit de la frayeur des uns et de la faiblesse des autres, cet abominable fantôme, Eugénie, est inutile au système de la terre ; il y nuirait infailliblement puisque ses volontés, qui devraient être justes, ne pourraient jamais s’allier avec les injustices essentielles aux lois de la nature ; qu’il devrait constamment vouloir le bien, et que la nature ne doit le désirer qu’en compensation du mal qui sert à ses lois ; qu’il faudrait qu’il agît toujours et que la nature, dont cette action perpétuelle est une des lois, ne pourrait que se trouver en concurrence et en opposition perpétuelle avec lui.}}
{{réf Livre|auteur=[[w:Donatien Alphonse François de Sade|Donatien Alphonse François de Sade]]|titre=Oeuvres De Sade|éditeur=Jeune Parque|année=1947|titre de la contribution=La philosophie dans le boudoir|année de la contribution=1795|page=169}}
 
 
==XXeme siècle==
 
=== [[Charles Bukowski]], ''Journal d'un vieux dégueulasse'', 1969 ===
{{citation|citation=j'aime mieux qu'on me raconte la vie d'un clochard américain que celle d'un dieu grec mort.}}
{{Réf Livre|titre=Journal d'un vieux dégueulasse|auteur=[[Charles Bukowski]]|éditeur=Grasset & Fasquelle|collection=Le Livre de Poche|année=1969|année d'origine=1996|page=249|ISBN=978-2-253-14384-0}}
 
===Fausto Cercignani===
{{citation|La thèse que l’être humain cherche [[Dieu]] à cause du [[chaos|désordre]] qu’il perçoit en soi ne tient pas compte que l’être humain semble préférer le désordre.
|original=The thesis that the human being seeks God because of the disorder he perceives in himself does not take into account that the human being seems to prefer disorder.
|langue=en}}
{{Réf Livre|titre= Simplement Transcrites. Citations de [[Fausto Cercignani]] (titre original: Simply Transcribed. Quotations from Fausto Cercignani)
|auteur=Brian Morris
|éditeur=Lulu Press (Raleigh, NC, USA), http://www.lulu.com/
|année=2013, 2ème éd. 2014
|page=35}}
 
=== [[Richard Dawkins]], ''Pour en finir avec Dieu'', 2006 ===
{{citation|On peut dire que, de toutes les oeuvres de fiction, le Dieu de la Bible est le personnage le plus déplaisant : jaloux et fier de l'être, il est impitoyable, injuste et tracassier dans son obsession de tout régenter ; adepte du nettoyage ethnique, c'est un revanchard assoiffé de sang ; tyran lunatique et malveillant, ce misogyne homophobe, raciste, pestilentiel, mégalomane et sadomasochiste pratique l'infanticide, le génocide et le ''filicide''.}}
{{Réf Livre|titre=Pour en finir avec Dieu (The God Delusion )|auteur=[[:w:Richard Dawkins|Richard Dawkins]]|éditeur=Robert Laffont|année=2008|année d'origine=2006|page=38}}
 
=== [[Albert Gelin]], bibliste ===
{{citation|citation=Le [[Dieu]] de la Bible, comme le notait [[Pascal]], n'est pas le Dieu des philosophes, mais le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, le Dieu qui se révèle dans l'histoire comme Sauveur et dont toute une lignée de personnages privilégiés, de mystiques, expérimente la présence. la souffrance a souvent été, chez eux, le grand aiguillon de la découverte, comme il est facile de le constater dans le cas d'Osée, de Jérémie et des « anawims ».}}
{{Réf Livre|titre=Les idées maîtresses de l'Ancien Testament
|auteur=[[Albert Gelin]]
|éditeur=Cerf
|année=1949
|page=12}}
 
=== [[André Gide]], ''Les Faux-monnayeurs'', 1925 ===
{{citation|La cruauté, c'est le premier des attributs de Dieu.}}
{{réf Livre|titre=Les Faux-monnayeurs|auteur=André Gide|éditeur=Gallimard|année=1925|partie=III (« Paris »)|chapitre=18|page=378|ISBN=2070400824}}
 
=== [[François (pape)|Pape François]]===
{{citation|citation=Reconnaissons que Dieu n’est pas quelque chose de vague, notre Dieu n’est pas un Dieu en spray, il est concret et non pas abstrait. Il a d’ailleurs un nom : Dieu est amour.|original=Il nostro Dio non è un Dio ‘spray’, è concreto, non è un astratto, ma ha un nome: ‘Dio è amore’.|langue=it}}
{{Réf Pub|nom=François (Pape)|date=26 mai 2013|lieu=Cité du Vatican|source=Radio Vaticana|parution=26 mai 2013|auteur=François (Pape)|url=http://it.radiovaticana.va/news/2013/05/26/angelus._il_papa:_i_mafiosi_si_convertano_a_dio,_non_possono_render/it1-695678}}
 
=== [[Jules Renard]], ''Journal 1887-1910'', 1925 ===
{{citation|Dieu, celui que tout le monde connaît, de nom.}}
{{Réf Livre|titre=Journal 1887-1910|auteur=Jules Renard
|éditeur=Actes Sud|année=1995|ISBN=2-7427-5216-1
|page=107}}
 
=== Robert Sabatier, ''Dictionnaire de la mort'', 1967 ===
{{citation|On tue un homme, on est un assassin. On tue des millions d'hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu.|précisions=Ces propos sont de [[:w:Jean Rostand|Jean Rostand]] et datent de 1954.}}
{{Réf Pub|nom=[[:w:Jean Rostand|Jean Rostand]]|date= 1954|lieu=Pensées d'un biologiste|source= Dictionnaire de la mort |parution=chez Albin Michel, 1967, p.246|auteur= Robert Sabatier}}
 
=== [[Jean-Paul Sartre]], ''Le Diable et le bon Dieu'', 1951 ===
Ligne 85 ⟶ 138 :
}}
 
=== [[Friedrich Engels]], ''Anti-Dühring'', 1878 ===
{{citation|citation=Or, toute religion n'est que le reflet fantastique, dans le cerveau des hommes, des puissances extérieures qui dominent leur existence quotidienne, reflet dans lequel les puissances terrestres prennent la forme de puissances supra-terrestres. Dans les débuts de l'histoire, ce sont d'abord les puissances de la nature qui sont sujettes à ce reflet et qui dans la suite du développement passent, chez les différents peuples, par les personnifications les plus diverses et les plus variées. […] Mais bientôt, à côté des puissances naturelles, entrent en action aussi des puissances sociales, puissances qui se dressent en face des hommes, tout aussi étrangères et au début, tout aussi inexplicables, et les dominent avec la même apparence de nécessité naturelle que les forces de la nature elles-mêmes. Les personnages fantastiques dans lesquels ne se reflétaient au début que les forces mystérieuses de la nature reçoivent par là des attributs sociaux, deviennent les représentants de puissances historiques. A un stade plus avancé encore de l'évolution, l'ensemble des attributs naturels et sociaux des dieux nombreux est reporté sur un seul dieu tout-puissant, qui n'est lui-même à son tour que le reflet de l'homme abstrait. C'est ainsi qu'est né le monothéisme, qui fut dans l'histoire le dernier produit de la philosophie grecque vulgaire à son déclin et trouva son incarnation toute prête dans le Dieu national exclusif des Juifs, Yahvé.}}
{{Réf Livre|titre=Anti-Dühring|auteur=[[Friedrich Engels]]|éditeur=Editions sociales|année=1971|page=353|chapitre=V. Etat, famille, éducation|traducteur=Emile Bottigelli}}
 
=== [[Michel Bakounine]], ''Dieu et l'État'', 1882 ===
{{Citation|citation=Si Dieu existait réellement, il faudrait le faire disparaître.}}
{{Réf Livre|titre=Dieu et l'Etat|auteur=Michel Bakounine|éditeur=Mille et une nuits|collection=La Petite Collection|année=1882|page=29|ISBN=2-84205-074-6|année d'origine=1882|s=Dieu et l'Etat}}
 
=== [[Richard Dawkins]], ''Pour en finir avec Dieu'', 2006 ===
{{citation|On peut dire que, de toutes les oeuvres de fiction, le Dieu de la Bible est le personnage le plus déplaisant : jaloux et fier de l'être, il est impitoyable, injuste et tracassier dans son obsession de tout régenter ; adepte du nettoyage ethnique, c'est un revanchard assoiffé de sang ; tyran lunatique et malveillant, ce misogyne homophobe, raciste, pestilentiel, mégalomane et sadomasochiste pratique l'infanticide, le génocide et le ''filicide''.}}
{{Réf Livre|titre=Pour en finir avec Dieu (The God Delusion )|auteur=[[:w:Richard Dawkins|Richard Dawkins]]|éditeur=Robert Laffont|année=2008|année d'origine=2006|page=38}}
 
 
=== [[Blaise Pascal]], ''Pensées'', 1669 ===
{{citation|C'est une sphère infinie dont le centre est partout et la circonférence nulle part.
|précisions=Citation du {{w|Livre des XXIV philosophes}}}}
{{réf Livre|titre=Pensées de Blaise Pascal|auteur=[[Blaise Pascal]]|éditeur=L. de Bure|année=1923|année d'origine=1670|partie=Article IV (« Connaissance générale de l'homme »)|page=74}}
 
 
=== Saint Jean, [[s:La Bible|La Bible]], ''Nouveau Testament'' ===
{{citation|citation=Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.}}
{{Réf Livre|titre=La Bible|auteur=Saint Jean|éditeur=Edition Internationale VIE|année=1980|page=127|tome=|partie=Nouveau Testament|chapitre=3|traducteur=Louis Segond|année d'origine=1910|vers=16|s=La Bible|langue=}}
 
{{citation|citation=Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l'amour est de Dieu et que quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n'aime pas n'a pas connu Dieu, car Dieu est amour.}}
{{Réf Livre|titre=La Bible|auteur=Saint Jean|éditeur=Cerf|année=1955|page=1610|partie=Première lettre de Jean|chapitre=4|traducteur=École Biblique de Jérusalem|vers=16|s=|langue=}}
 
{{citation|citation=Et nous, nous avons reconnu l'amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour : celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu et Dieu demeure en lui.}}
{{Réf Livre|titre=La Bible|auteur=Saint Jean|éditeur=Cerf|année=1955|page=1610|partie=Première lettre de Jean|chapitre=4|traducteur=École Biblique de Jérusalem|vers=7-8|s=|langue=}}
 
=== [[Albert Gelin]], bibliste ===
{{citation|citation=Le [[Dieu]] de la Bible, comme le notait [[Pascal]], n'est pas le Dieu des philosophes, mais le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, le Dieu qui se révèle dans l'histoire comme Sauveur et dont toute une lignée de personnages privilégiés, de mystiques, expérimente la présence. la souffrance a souvent été, chez eux, le grand aiguillon de la découverte, comme il est facile de le constater dans le cas d'Osée, de Jérémie et des « anawims ».}}
{{Réf Livre|titre=Les idées maîtresses de l'Ancien Testament
|auteur=[[Albert Gelin]]
|éditeur=Cerf
|année=1949
|page=12}}
 
=== [[François (pape)|Pape François]]===
{{citation|citation=Reconnaissons que Dieu n’est pas quelque chose de vague, notre Dieu n’est pas un Dieu en spray, il est concret et non pas abstrait. Il a d’ailleurs un nom : Dieu est amour.|original=Il nostro Dio non è un Dio ‘spray’, è concreto, non è un astratto, ma ha un nome: ‘Dio è amore’.|langue=it}}
{{Réf Pub|nom=François (Pape)|date=26 mai 2013|lieu=Cité du Vatican|source=Radio Vaticana|parution=26 mai 2013|auteur=François (Pape)|url=http://it.radiovaticana.va/news/2013/05/26/angelus._il_papa:_i_mafiosi_si_convertano_a_dio,_non_possono_render/it1-695678}}
 
 
=== Filippo Mignini sur Spinoza ===
 
{{citation|citation=<poem>Dans le ''Court traité'' (II, chap. XXVI), Spinoza affirme expressément que la connaissance de Dieu par l'intellect est immédiate [...].
 
L'intellect ne se constitue dans un esprit existant en acte que lorsque l'idée de Dieu s'y trouve. L'intelligence, entendue comme troisième genre, n'existe ni avant ni sans cette idée. Parmi les hommes, ceux qui ne l'ont pas sont privés d'intellect (en tant que troisième genre de connaissance), et c'est la majorité de l'humanité.</poem>|précisions=Cette citation provient d'un dossier coordonné par Maxime Rovere concernant la philosophie spinozienne.}}
 
{{Réf Article|titre=Dieu tout-pensant |auteur=Filippo Mignini|publication=Le Magazine Littéraire |numéro=493|date=Janvier 2010|page=76}}
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Récupérée de « https://fr.wikiquote.org/wiki/Dieu »