« Déesse » : différence entre les versions

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Chez les Esquimaux, la déesse Mère a ce même caractère de virginité au sens ancien du terme. Les Esquimaux l'appellent : « Celle qui ne veut pas de mari. »</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Les Mystères de la femme|auteur=[[Mary Esther Harding]]|traducteur=Eveline Mahyère|éditeur=Payot & Rivages|collection=Petite Bibliothèque Payot|année=2001|année d'origine=1953|page=168|chapitre=VII. La lune mère|ISBN=2-228-89431-1}}
 
{{citation|citation=Dans la nature, le principe féminin, ou comme l'appelait l'homme naïf, la ''déesse'' féminine apparaît comme une force aveugle, féconde et cruelle, créatrice et destructrice. C'est la « femelle des espèces plus implacable que le mâle » féroce dans ses amours et dans ses haines. Tel est le principe féminin dans sa forme ''démoniaque''. Les chinois l'appellent ''Yin'', la puissance ténébreuse de la femme.}}
{{Réf Livre|titre=Les Mystères de la femme|auteur=[[Mary Esther Harding]]|traducteur=Eveline Mahyère|éditeur=Payot & Rivages|collection=Petite Bibliothèque Payot|année=2001|année d'origine=1953|page=62|chapitre=II. La lune, dispensatrice de fertilité|ISBN=2-228-89431-1}}