« François Rabelais » : différence entre les versions

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|précisions = C'est à Pytaghore que les « porteurs de capuchons » succèdent. En effet, celui-ci et ses disciples, s'interdisaient de mangers les fèves parce qu'ils considéraient qu'elle contiendrait l'âme des morts. L'anecdote du crachat de Pihiloxene et de Gnato est tirée de Plutarque.
}}
{{Réf Livre |auteur=Rabelais|page=726731|année=1994|année d'origine=1564|éditeur=Gallimard|titre=Œuvres complètes|section=Prologue }}
 
{{citation|
citation=Nos jeunes furent terribles et bien espouventables, car le premier jour nous jeunasmes à battons rompus, le second à espées rabattues, le tiers à fer esmoulu, le quart à feu et à sang.
| langue = fr
| original =
|précisions =
}}
{{Réf Livre |auteur=Rabelais|page=731|année=1994|année d'origine=1564|éditeur=Gallimard|titre=Œuvres complètes|chapitre=I, « Comment Pantagruel arriva en l'Isle sonnante, et du bruit qu'entendismes » }}
 
{{citation|
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}}
{{Réf Livre |auteur=Rabelais|page=732-733|année=1994|année d'origine=1564|éditeur=Gallimard|titre=Œuvres complètes|chapitre=III, « Comment en l'Isle sonnante n'est qu'un Papegaut » }}
 
{{citation|
citation={{personnage|Maître Aeditue}}<br/>« Vous aultres de l'autre monde dictes que l'ignorance est mere de tous les maux,et dictes vray : mais toutesfois ne la bannissez mie de vos entendements, et vivez en elle et par elle. C'est pourquoy tant de maux vous meshaignent de jour en jour : tousjours vous plaignez : tousjours vous lamentez : jamais n’estes assouvis : je le considere presentement. »
| langue = fr
| original = Vous autres de l'autre monde dites que l'ignorance est mère de tous les maux, et dites vrai : mais vous ne la banissez pourtant pas de votre raison, et vivez en elle et par elle. C'est pourquoi tant de maux vous tourmentent de jour en jour : toujours des plaintes, toujours des lamentations, jamais vous n'êtes satisfaits, je m'en rends compte à présent.
|précisions =
}}
{{Réf Livre |auteur=Rabelais|page=740|année=1994|année d'origine=1564|éditeur=Gallimard|titre=Œuvres complètes|chapitre=VII, « Comment Panurge racompte à maistre Aeditue l'Apologue du Rousin et de l"Asne » }}
 
{{citation|
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|précisions =Les voyageurs sont sur une île où les objets de fers poussent sur des arbres.
}}
{{Réf Livre |auteur=Rabelais|page=747|année=1994|année d'origine=1564|éditeur=Gallimard|titre=Œuvres complètes|chapitre=IIIIX, « Comment nous descendimes en l'Isle des ferrements » }}
 
{{citation|