« Les Cavernes d'acier » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Myrddin02 (discussion | contributions)
m boite de navigation
Myrddin02 (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Ligne 2 :
|titre = Les Cavernes d'acier
|série = Le cycle des Robots
|avant = LesUn Robotsdéfilé (nouvelles){{!}}Lesde Robotsrobots
|après = Face aux feux du soleil
}}
{{Fiche de références|Les cavernesCavernes d'acier}}
'''''[[w:Les cavernes d'acier|Les cavernes d'acier]]''''' (''The caves of steel'') est un {{cat|Roman|roman}} {{cat|Roman policier|policier}} de {{cat|science-fiction}} d'[[Isaac Asimov]] paru pour la première fois en {{cat|Œuvre de 1954|1954}} et appartenant au cycle des Robots. Il est le premier d'une série de 4 romans mettant en scène le personnage de l'inspecteur [[w:Elijah Baley|Elijah Baley]], accompagné par le robot humanoïde [[w:R. Daneel Olivaw|R. Daneel Olivaw]].
 
Ligne 12 :
{{citation|citation=Tous les ennuis que nous vaut la vie moderne sont dus à ce qu'il y a divorce entre la nature et nous.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=10
Ligne 19 :
{{citation|citation=Chacune de ces villes devint un ensemble quasi autonome qui parvint à se suffire à peu près à lui-même sur le plan économique. Et toutes se couvrirent de toits hermétiques, s'entourèrent de murs infranchissables, et se tapirent dans les profondeurs du sol. Chacune devint une cave d'acier, une formidable caverne aux innombrables compartiments de béton et de métal.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=34
Ligne 26 :
{{citation|citation=Quand les gens sont malheureux et perdent tout espoir de voir venir la fin de leurs tourments, ils passent aisément de l'amertume, née de la spoliation, à la fureur vengeresse et destructrice. Il ne faut que quelques minutes pour transformer l'hostilité latente d'une foule en une fulgurante orgie de sang et de ruines.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=46
Ligne 40 :
{{citation|citation={{Personnage|R. Daneel Olivaw}} : La différence entre l'être humain et le robot n'est peut-être pas aussi significative que celle qui oppose l'intelligence et la bêtise.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=58
Ligne 47 :
{{citation|citation={{Personnage|R. Daneel Olivaw}} : La justice, ''(...)'' c'est ce qui existe quand toutes les lois sont respectées.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=145
Ligne 54 :
{{citation|citation={{Personnage|R. Daneel Olivaw}} : Une loi injuste est un contresens.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=145
Ligne 62 :
|précisions=À la lumière de l'intégralité de l'œuvre d'Asimov, cette phrase prend tout son sens dans les romans ''Les robots et l'empire'' et ''Terre et Fondation''.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=173
Ligne 69 :
{{citation|citation={{Personnage|Dr Gerrigel}} : La race humaine ''(...)'' garde un très puissant complexe : celui de Frankenstein.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=233
Ligne 76 :
{{citation|citation={{Personnage|Dr Gerrigel}} : La forme humaine est, dans toute la nature, celle qui donne le meilleur rendement.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=235
Ligne 83 :
{{citation|citation=Il faut garder la foi en notre vieux cerveau d'homme ! Notre plus grande richesse, c'est notre génie créateur.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=253
Ligne 90 :
{{citation|citation=Les sacs à main des femmes étaient sans doute les seuls objets qui avaient résisté, au cours des âges, aux perfectionnements mécaniques.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=269
Ligne 97 :
{{citation|citation=Souvent les gens prennent leurs propres lacunes pour celles de la société qui les entoure, et qu'alors ils cherchent à réformer ladite société parce qu'ils sont incapables de se réformer eux-mêmes.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=273
Ligne 104 :
{{citation|citation=L'homme est capable de grands élans de charité, et il peut aussi pardonner.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=286
Ligne 111 :
{{citation|citation=Qu'est-ce que la beauté, ou la charité, ou l'art, ou l'amour, ou Dieu ? Nous piétinerons éternellement aux frontières de l'Inconnu, cherchant à comprendre ce qui restera toujours incompréhensible. Et c'est précisément cela qui fait de nous des hommes.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=305
Ligne 118 :
{{citation|citation={{Personnage|Elijah Baley}} : Ne comprenez-vous pas que, dans une enquête, il y a plus que l'accomplissement d'une tâche professionnelle ? C'est un défi que l'on a entrepris de relever. Votre cerveau se mesure à celui du criminel, dans une lutte sans merci. C'est un combat entre deux intelligences.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=339
Ligne 132 :
{{citation|citation={{Personnage|R. Daneel Olivaw}} : Il me semble moins juste et moins souhaitable de détruire ce qui ne devrait pas exister – autrement dit ce que vous appelez, vous, le mal – que de transformer le mal en ce que vous appelez le bien.
}}
{{Réf Livre|référence=Les cavernesCavernes d'acier/J'ai Lu - SF
|année d'origine=1954
|page=373