« Platon » : différence entre les versions

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{{citation|citation=Il y a, selon moi, naissance de société du fait que chacun de nous, loin de se suffire à lui-même, a au contraire besoin d'un grand nombre de gens.}}
{{Réf Livre|titre=La République|auteur=Platon|éditeur=Pleiade|année=1950|année d'origine=IVèmeIV{{e}} siècle av. J.-C.|page=914|partie=II, (369c)}}
 
{{citation|citation= Et, par conséquent, en ce sens encore, la possession, autant que l'accomplissement de ce qui nous est propre et qui est nôtre, on s'accorderait à dire que c'est justice.}}
{{Réf Livre|titre=La République|auteur=Platon|éditeur=Pleiade|année=1950|année d'origine=IVèmeIV{{e}} siècle av. J.-C.|page=1000|partie=IV, (433c)}}
 
{{citation|citation=Le contraire de cette injustice serait donc la justice, qui consisterait pour chaque classe - celle de l'homme d'affaire, celle du militaire auxiliaire, celle du gardien - à exercer ses propres activités dans la cité ; c'est cela qui rendrait la cité juste. [...] Une cité semblait précisément être juste quand les trois groupes naturels présents en elle exerçaient chacun sa tâche propre, et elle nous semblait modérée, ou encore courageuse et sage, en raison d'affections et de dispositions particulières de ces mêmes groupes.}}
{{Réf Livre|titre=La République|auteur=Platon|éditeur=GF Flammarion|année=2002|année d'origine=IVèmeIV{{e}} siècle av. J.-C.|page=239|partie=IV, (434c-435b)}}
 
{{citation|citation=Il faut, répondis-je, d'après ce dont nous sommes convenus, que, le plus souvent possible, ce soit l'élite des hommes qui ait commerce avec l'élite des femmes, et, au contraire, le rebut avec le rebut; que les rejetons des premiers soient élevés, non ceux des seconds, si l'on veut que le troupeau garde sa qualité éminente.}}
{{Réf Livre|titre=La République|auteur=Platon|éditeur=Pleiade|année=1950|année d'origine=IVèmeIV{{e}} siècle av. J.-C.|page=1033|partie=V, (459c)}}
 
{{citation|citation=Aucun homme libre ne doit s'engager dans l'apprentissage de quelque connaissance que ce soit comme un esclave.}}
{{Réf Livre|titre=La République|auteur=Platon|éditeur=GF Flammarion|année=2002|année d'origine=IVèmeIV{{e}} siècle av. J.-C.|page=393|partie=VII, (536e)}}
{{Choisie citation du jour
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|commentaire=
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{{citation|citation=Si l'on arrive pas, ou bien à ce que les philosophes règnent dans les cités, ou bien à ce que ceux qui à présent sont nommés rois et hommes puissants philosophent de manière authentique et satisfaisante, et que coïncident l'un avec l'autre pouvoir politique et philosophie; et à ce que les nombreuses natures de ceux qui à présent se dirigent séparément vers l'une ou l'autre carrière en soient empêchées par la contrainte, il n'y aura pas de cesse aux maux des cités, ni non plus il me semble, du genre humain.}}
{{Réf Livre|titre=La République|page=293|partie=V, 473d|éditeur=Folio essais|auteur=Platon|année=1993|traducteur=Pierre Pachet|année d'origine=IVème siècle av. J.-C.}}
 
{{citation|citation=Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus au dessus d’eux l’autorité de rien ni de personne, alors c’est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie.}}
{{Réf Livre|titre=La République|page=|partie=|éditeur=|auteur=Platon|année=|traducteur=|année d'origine=IV{{e}} siècle av. J.-C.}}
 
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