« Honoré de Balzac » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Codex (discussion | contributions)
Codex (discussion | contributions)
Ligne 148 :
|collection=Bibliothèque de la Pléiade
|année d'origine=1835}}
 
=== ''[[w:La Fille aux yeux d'or|La Fille aux yeux d'or]]'', 1835 ===
{{citation|citation=l’esprit français, le plus vif, le plus acéré de tous les instruments intelligentiels}}
{{Réf Livre|titre=La Fille aux yeux d'or
|auteur=Honoré de Balzac
|éditeur=A. Houssiaux
|éditeur d'origine=Mame-Delaunay
|année d'origine=1835
|année=1855
|page=279
|collection=Livre de poche
|s=La Fille aux yeux d'or}}
 
=== ''[[w:Le Colonel Chabert|Le Colonel Chabert]]'', 1835 ===
Ligne 205 ⟶ 217 :
|collection=Classiques Garnier, la Comédie humaine
|s=La Messe de l'athée}}
 
=== ''[[w:La Vieille Fille|La Vieille Fille]]'', 1836 ===
{{citation|Les mythes modernes sont encore moins compris que les mythes anciens, quoique nous soyons dévorés par les mythes.}}
{{Réf Livre|titre de la contribution=La Maison Nucingen
|année de la contribution=1836
|titre=La Vieille Fille
|auteur=Honoré de Balzac
|éditeur=Houssiaux
|année=1874
|page=119
|s=La Vieille Fille}}
 
=== ''[[w:La Maison Nucingen|La Maison Nucingen]]'', 1837 ===
Ligne 229 ⟶ 252 :
|s=César Birotteau}}
 
{{citation|citation=Dans ce produit bizarre, vous eussiez reconnu l'actionnaire par excellence, croyant à toutes les nouvelles que la presse périodique baptise de son encre, et qui a tout dit en disant : Lisez le journal !}}
=== ''[[w:Un prince de la bohème|Un prince de la bohème]]'' ou ''Les Fantaisies de Claudine'', 1840 ===
{{Réf Livre|titre=César Birotteau
{{citation|L'espoir est une mémoire qui désire, le souvenir est une mémoire qui a joui.}}
|auteur=Honoré de Balzac
{{Réf Livre|titre=Les Fantaisies de Claudine
|éditeur=Gallimard VI
|éditeur d'origine=Boulé
|année d'origine=1837 datée 1838
|année=1977
|page=106
|collection=Bibliothèque de la pléiade
|s=César Birotteau}}
 
=== ''[[w:Le Cabinet des Antiques|Le Cabinet des Antiques]]'' 1839 ===
{{citation|En France, ce qu’il y a de plus national, est la vanité. La masse des vanités blessées y a donné soif d’égalité.}}
{{Réf Livre|titre=Le Cabinet des Antiques
|auteur=Honoré de Balzac
|éditeur=A. Houssiaux
|année=1874
|page=135
|s=Le Cabinet des Antiques}}
 
{{citation|Privilége semblable à celui de la noblesse, la beauté ne se peut acquérir, elle est partout reconnue, et vaut souvent plus que la fortune et le talent, elle n’a besoin que d’être montrée pour triompher, on ne lui demande que d’exister.}}
{{Réf Livre|titre=Le Cabinet des Antiques
|auteur=Honoré de Balzac
|éditeur=A. Houssiaux
|année=1874
|page=141
|s=Le Cabinet des Antiques}}
 
=== ''[[w:La Rabouilleuse|La Rabouilleuse]]'', 1843 ===
{{citation|L’épicier est entraîné vers son commerce par une force attractive égale a la force de répulsion qui en éloigne les artistes.}}
{{Réf Livre|titre=La Rabouilleuse
|auteur=Honoré de Balzac
|éditeur=Furne
|année=1843
|page=65
|s=La Rabouilleuse}}
 
{{citation|Ses malheurs au Texas, son séjour à New-York, pays où la spéculation et l’individualisme sont portés au plus haut degré, où la brutalité des intérêts arrive au cynisme, où l’homme, essentiellement isolé, se voit contraint de marcher dans sa force et de se faire à chaque instant juge dans sa propre cause, où la politesse n’existe pas.}}
{{Réf Livre|titre=La Rabouilleuse
|auteur=Honoré de Balzac
|éditeur=Furne
|année=1843
|page=93
|s=La Rabouilleuse}}
 
{{citation|Il lisait d’ailleurs beaucoup, il se donnait cette profonde et sérieuse instruction que l’on ne tient que de soi-même, et à laquelle tous les gens de talent se sont livrés entre vingt et trente ans.}}
{{Réf Livre|titre=La Rabouilleuse
|auteur=Honoré de Balzac
|éditeur=Furne
|année=1843
|page=112
|s=La Rabouilleuse}}
 
=== ''[[w:Illusions perdues|Illusions perdues]]'', 1843 ===
{{citation|La femme porte le désordre dans la société par la passion.}}
{{Réf Livre|titre=Illusions perdues
|auteur=Honoré de Balzac
|éditeur=Furne
|année=1843
|page=172
|s=Illusions perdues/Un grand homme de province à Paris|Illusions perdues}}
 
{{citation|L’impression est aux manuscrits ce que le théâtre est aux femmes elle met en lumière les beautés et les défauts ; elle tue aussi bien qu’elle fait vivre ; une faute saute alors aux yeux aussi vivement que les belles pensées.}}
{{Réf Livre|titre=Illusions perdues
|auteur=Honoré de Balzac
|éditeur=Furne
|année=1843
|page=302-303
|s=Illusions perdues/Un grand homme de province à Paris|Illusions perdues}}
 
{{citation|Le roman, qui veut le sentiment, le style et l’image, est la création moderne la plus immense. Il succède à la comédie qui, dans les mœurs modernes, n’est plus possible avec ses vieilles lois.}}
{{Réf Livre|titre=Illusions perdues
|auteur=Honoré de Balzac
|éditeur=Furne
|année=1843
|page=309
|s=Illusions perdues/Un grand homme de province à Paris|Illusions perdues}}
 
{{citation|le Poète qui semble ne rien faire et qui néanmoins règne sur l’Humanité quand il a su la peindre.}}
{{Réf Livre|titre=Illusions perdues
|auteur=Honoré de Balzac
|éditeur=E. DidierFurne
|année=18531843
|page=45395
|s=Illusions perdues/Ève et David|Illusions perdues}}
|s=Un prince de la bohème}}
 
=== ''[[w:Modeste Mignon|Modeste Mignon]]'' 1844 ===