« Jean Baudrillard » : différence entre les versions

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|référence=La Société de consommation/Gallimard-Folio
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=== Conclusion : De l'aliénation contemporaine ou la fin du pacte avec le diable ===
 
===== ''La fin de la transcendance'' =====
 
{{citation
|On peut donc avancer que l'ère de la consommation étant l'aboutissement historique de tout le processus de productivité accélérée sous le signe du capital, elle est aussi l'ère de l'aliénation radicale. La logique de la marchandise s'est généralisée, régissant aujourd'hui non seulement les procès de travail et les produits matériels mais la culture entière, la sexualité, les relations humaines, jusqu'aux phantasmes et aux pulsions individuelles. Tout est repris par cette logique, non seulement au sens où toutes les fonctions, tous les besoins sont objectivés et manipulés en termes de profit, mais au sens plus profond où tout est ''spectacularisé'', c'est-à-dire, évoqué, provoqué, orchestré en images, en signes, en modèles consommables.
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{{Réf Livre
|référence=La Société de consommation/Gallimard-Folio
|page=308
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{{citation
|Dans le mode spécifique de la consommation, il n'y a plus de transcendance, ''même pas celle fétichiste de la marchandise'', il n'y a plus qu'immanence à l'ordre des signes.
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|référence=La Société de consommation/Gallimard-Folio
|page=309
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