« Anne Calife » : différence entre les versions

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{{Citation|Je craignais qu’il ne tombe malade ; ses taches noires semblaient plus grosses que jamais, l’une sur le flanc alourdi, l’autre en bandeau sur la tempe. Comme lors de toutes les grandes peines, le Chat se résigna. Il ferma ses yeux ourlés de noir. Les rayures de son visage convergèrent vers le trait oblique des paupières.}}
{{Réf Livre|titre=Paul et le Chat |auteur= Anne Calife éditeur=Mercure de France, réédition Menthol House|année=2004|page=17|ISBN=978-2-9599680-2-0}}
 
 
{{Citation|Enfermés dans la boîte transparente de la télévision, les enfants de la Guerre tendaient, eux aussi, leurs bras maigres vers nous. .}}
{{Réf Livre|titre=Paul et le Chat |auteur= Anne Calife|éditeur=Mercure de France, réedition Menthol House|année=2004|page=18|ISBN=978-2-9599680-2-0}}
 
 
{{Citation|Giclèrent sur l’écran les traces orange des bombes sur le ciel noir. Désormais, la Guerre se déployait sur toutes les chaînes, avec ce « r » présent dans toutes les langues : « Krieg, Guerra » ou englouti par les mâchoires américaines : « War ». Les Arabes la nomment « har’b » avec un « h » soufflé de gorge, ce « r » guttural du fond du ventre.
Dans toutes les bouches, cette râpe du « r ». .}}
 
{{Réf Livre|titre=Paul et le Chat |auteur= Anne Calife|éditeur=Mercure de France, réedition Menthol House|année=2004|page=21|ISBN=978-2-9599680-2-0}}