« Yasmina Khadra » : différence entre les versions

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{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=11}}
 
{{citation|citation=Je voudrais qu’il disparaisse sur-le-champ, que les [[esprit]]s frappeurs hantant ma maison se transforment en courant d’air, qu’un ouragan défonce mes fenêtres et m’emporte loin, très loin du [[doute]] en train de me dévorer les tripes, de brouiller mes marques et de remplir mon [[cœur]] de graves incertitudes...}}
{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=47}}
 
{{citation|citation=LA BÊTE IMMONDE EST PARMI NOUS.}}
{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=59}}
 
{{citation|citation=Je dévale un sentier jusqu’à la plage, occupe un rocher et me concentre sur la brèche infinitésimale en train de griffer les ténèbres. La brise fourrage sous ma chemise, ébouriffe mes cheveux. Je ceinture mes genoux avec mes bras, pose délicatement mon menton dessus et ne quitte plus des yeux la zébrure opalescente retroussant doucement les basques de l’horizon.}}
{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=80-81}}
 
{{citation|citation=Laisse la [[rumeur]] des flots absorber celle qui chahute ton intérieur [...]. C’est la meilleure façon de faire le vide en soi.}}
{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=81}}
 
{{citation|citation=Il faut toujours regarder la [[mer]]. C’est un miroir qui ne sait pas nous mentir. C’est aussi comme ça que j’ai appris à ne plus regarder derrière moi. Avant, dès que je jetais un coup d’œil par-dessus mon épaule, je retrouvais intacts mes chagrins et mes revenants. Ils m’empêchaient de reprendre goût à la [[vie]], tu comprends ? Ils gâchaient '''mes chances de renaître de mes cendres'''...}}
{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=81}}
 
=== ''Ce que le jour doit à la nuit'', 2008 ===