« Yasmina Khadra » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Ligne 26 :
{{citation|citation=Son regard court sur le sable de la plage, plonge au milieu des vagues et va se perdre au large tandis que sa main diaphane monte lentement vers celle de sa petite-fille. <br>Tous les trois, perclus chacun dans son silence, nous contemplons l’horizon que l’aurore embrase de mille feux, certains que le [[jour]] qui se lève, pas plus que ceux qui l’ont précédé, ne saurait apporter suffisamment de lumière dans le cœur des [[humanité|hommes]].}}
{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=84}}
 
{{citation|citation=[Q]ue savons-nous vraiment de ce qui est juste et de ce qui ne l’est pas ? Les choses qui nous arrangent ; celles qui ne nous conviennent pas. Nous manquons de discernement aussi bien lorsque nous sommes dans notre droit que lorsque nous sommes dans le tort. Ainsi vivent les hommes : dans le pire lorsqu’il est le meilleur d’eux-mêmes, et dans le meilleur lorsqu’il ne veut pas dire grand-chose... Mes pensées m’acculent, se jouent de mes états d’âme. Elles se nourrissent de ma fragilité, abusent de mon chagrin. Je suis conscient de leur travail de sape et les laisse faire comme s’abandonne à la somnolence le veilleur trop confiant. Mes larmes ont peut-être noyé un peu de mon chagrin, mais la colère est toujours là, telle une tumeur enfouie au tréfonds de moi, ou un monstre abyssal tapi dans les ténèbres de son repaire, guettant le moment propice de remonter à la surface terrifier son monde.}}
{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=90-91}}
 
=== ''Ce que le jour doit à la nuit'', 2008 ===