« Yasmina Khadra » : différence entre les versions

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{{citation|citation=Plus près, les vagues se jettent éperdument contre les rochers. Leur fracas résonne dans ma tête comme des coups de massue. <br>La brise me rafraîchit. Je me ramasse autour de mes jambes, enfonce le menton entre mes genoux et écoute les rumeurs de la mer. Lentement, mes yeux s’embrouillent ; mes sanglots me rattrapent, se bousculent dans ma gorge et déclenchent une multitude de tremblements qui partent dans tous les sens à travers mon corps. Je prends alors ma figure à deux mains et, de gémissement en gémissement, je me mets à hurler comme un possédé dans le vacarme assourdissant des flots.}}
{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=56-57}}
 
{{citation|citation=LA BÊTE IMMONDE EST PARMI NOUS.}}
{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=L’Attentat|éditeur=Pocket|année=2005|page=59}}
 
{{citation|citation=Dans ce genre d’enlisement, si on ne réagit pas très vite, on n’est plus maître de quoi que ce soit. On devient spectateur de sa propre dérive, et on ne se rend pas compte du gouffre en train de se refermer sur soi pour toujours...}}