« Le Cercle des poètes disparus » : différence entre les versions

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{{citation|1=<poem>
{{personnage|Mr McAllister}} : Montre moi un coeur affranchi du fardeau des rêves et je te dirais voici un homme libre.
{{personnage|John Keating}} : C'est dans ses rêves que l'homme trouve la liberté. Cela fut, est et restera la vérité.
</poem>}}
{{réf Film|titre=Le Cercle des poètes disparus
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{{citation|1=<poem>
{{personnage|John Keating}} : Le langage s'est surtout développé pour un motif ; quel est-il, Monsieur Anderson ? Êtes-vous un homme ou une amibe ? Monsieur Perry ?
{{personnage|Neil Perry}} : Pour communiquer ?
{{personnage|John Keating}} : Non ! Pour courtiser les femmes !
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{{personnage|John Keating}} : Monsieur Anderson, je vous vois quasiment à l'agonie. Debout Todd, allez, abrégeons votre tourment.
{{personnage|Todd Anderson}} : Je-je n'ai rien fait Monsieur.
{{personnage|John Keating}} : Monsieur Anderson croit que ce qu'il en lui est d'une bêtise piteuse, et embarrassante. C'est pas vrai, Todd, ce n'est pas ça votre terreur ? Vous avez tort. Je crois que ce que vous avez dans le ventre a une grande valeur. ''[Il écrit au tableau]'' Je hurle mon cri barbare YAWP sur tous les toits du monde. W, W. L'oncle Walt encore. Le phonie est tout à fait clair, un « yawp » traduit un grand cri rauque. Allez Todd, vous allez nous offrir une démonstration de ce barbare « Yawp ». Enfin voyons, on ne « yawpe » pas assis. Allez, allez, en piste, debout. En position de « Yawp ».
{{personnage|Todd Anderson}} : Un yawp ?
{{personnage|John Keating}} : Non non, je veux un yawp barbare. YAWP !
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{{personnage|John Keating}} : Mais non voyons, trouvez mieux que ça. Libérez votre esprit, essayez de l'imaginer, dites ce qui vous passe par la tête, allez, même si c'est une absurdité.
{{personnage|Todd Anderson}} : Un fou avec les dents qui transpirent.
{{personnage|John Keating}} : Bon sang, mais c'est de la poésie que vous nous faites, Todd. Fermez les yeux. Voilà, voilà, on ferme les yeux. Décrivez ce que vous voyez.
{{personnage|Todd Anderson}} : J'ai les yeux fermés.
{{personnage|John Keating}} : Oui ?
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{{personnage|John Keating}} : Le fou aux dents qui transpirent ?
{{personnage|Todd Anderson}} : Oui, le fou aux dents qui transpirent avec un regard qui perce mon front.
{{personnage|John Keating}} : Oh mais c'est excellent. MettezAllez-y, ettez-le en mouvement. Que fait-il ?
{{personnage|Todd Anderson}} : Il essaie de m'étrangler, il tend les mains.
{{personnage|John Keating}} : Très bien, oui, oui, très bien !