« Abel Bonnard » : différence entre les versions

'''[[w:Abel Bonnard|Abel Bonnard]]''', né le {{date|19|décembre|1883}} à Poitiers et mort le {{date|31|mai|1968}} à Madrid, est un écrivain, poète, essayiste et homme politique français.

 

{{Citation|« Ah, disait-il à Horace, quelle gaieté, dans ce temps-là ! Et de vrais seigneurs, courtois, généreux, faciles ! Toutes les nuits, ajouta-t-il en français, ils arrivaient à une heure du matin, et alors, des huîtres et du vin blanc ! » Il s'arrêta, et lui qui n'avait fait que les servir, il regrettait leurs plaisirs comme s'il les avait partagés.}}

{{Réf Livre|titre=Le Palais Palmacamini|auteur=Abel Bonnard|éditeur=Fasquelle|année=1914|page=65}}

{{Réf Livre|titre=Le Palais Palmacamini|auteur=Abel Bonnard|éditeur=Fasquelle|année=1914|page=274}}

 

{{Citation|L'argent ne doit être que le plus puissant de nos esclaves.}}

{{Réf Livre|titre=L'Argent|auteur=Abel Bonnard|éditeur=Hachette|année=1928|page=7}}

{{Réf Livre|titre=L'Argent|auteur=Abel Bonnard|éditeur=Hachette|année=1928|page=58}}

 

{{Citation|Comme pour toutes les âmes exquises, le Bien et le Mal devaient lui apparaître sous les espèces du Beau et du Laid.}}

{{Réf Livre|titre=Saint François d'Assise|auteur=Abel Bonnard|éditeur=Flammarion|année=1929|page=214}}

 

{{Citation|[Les modérés sont] les femmes de la politique : ils souhaitent qu'on leur fasse une agréable violence.}}

{{Réf Livre|titre=Les Modérés|auteur=Abel Bonnard|éditeur=Grasset|année=1936|page=154}}

{{Réf Livre|titre=Les Modérés|auteur=Abel Bonnard|éditeur=Grasset|année=1936|page=323}}

 

{{Citation|Ayant moi-même cette Asie pour patrie personnelle et pour immense refuge, loin du vulgaire Occident, je lui suis reconnaissant d'avoir été l'un de ceux qui la dévoilèrent.}}

{{Réf Livre|titre=Le Comte de Gobineau|auteur=Abel Bonnard|éditeur=Dynamo|année=1968|page=8-9}}

 

{{Citation|Le Destin n'attend pas : dans la vie des nations comme dans celle des individus, il n'y a que de rares moments de choix, dont il faut reconnaître l'insigne importance, si l'on veut profiter pleinement des chances qu'ils nous offrent. L'Occasion est une déesse qui ne s'assied pas.}}

{{Réf Livre|titre=Berlin, Hitler et moi. Inédits politiques|auteur=Abel Bonnard|éditeur=Avalon|année=1987|page=246}}

 

{{Citation|Les vrais amis sont les solitaires ensemble.}}

{{Réf Livre|titre=Le cadeau de l'amitié|auteur=Helen Exley|éditeur=Exley|année=2002|page=68}}

 

{{interprojet|s=Auteur:Abel Bonnard|w=Abel Bonnard}}