« Cormac McCarthy » : différence entre les versions

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{{citation|Car l'existence possède un ordre qui lui est propre, et cela nulle intelligence humaine ne peut l'appréhender, cette intelligence elle-même n'étant qu'un fait parmi d'autres.}}
{{réf livre|titre=Méridien de sang
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=308
|année=1998
Ligne 72 :
{{citation|Avant que l'homme existe la guerre l'attendait. Le metier suprême attendait son suprême praticien.}}
{{réf livre|titre=Méridien de sang
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=312
|année=1998
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{{citation|On n'est pas maître de ses sentiments.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=35
|année=1998
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{{citation|On sait jamais quand on aura besoin de ceux qu'on a méprisés.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=84
|année=1998
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{{citation|La connerie est jamais arrivée toute seule.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=91
|année=1998
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{{citation|Les cicatrices ont l'étrange pouvoir de nous rappeler que notre passé est réel.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=154
|année=1998
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{{citation|Dans un monde idéal le bavardage des oisifs seraient sans conséquence.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=155
|année=1998
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{{citation|Ce qui est sacré est sacré.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=164
|année=1998
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{{citation|Il n'y a pas plus terrible monstre que la raison.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=166
|année=1998
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{{citation|On n'a jamais autant de temps qu'on le croit.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=218
|année=1998
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{{citation|On n'accepte pas volontiers l'idée d'un sang souillé. L'idée d'une famille maudite.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=258
|année=1998
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{{citation|Tant de choses dépendent du hasard.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=266
|année=1998
Ligne 158 :
{{citation|La communion la plus profonde est celle de la douleur.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=268
|année=1998
Ligne 165 :
{{citation|Le monde est tout a fait impitoyable quand il faut choisir entre le rêve et la réalité, même si nous ne voulons pas choisir. Entre le désir et la chose il y a le monde qui attend.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=269
|année=1998
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{{citation|Si le destin est la loi alors est-ce que le destin est aussi soumis à cette loi ?}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=271
|année=1998
Ligne 179 :
{{citation|Le meilleur moment c'est toujours maintenant.}}
{{réf livre|titre=De si jolis chevaux
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=325
|année=1998
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{{citation|Car si le monde semble être un lieu où résident les hommes c'est dans l'homme en réalité que réside le monde et pour le connaître c'est donc là qu'il faut chercher et apprendre à connaître le cœur des hommes et pour cela il faut vivre avec les hommes sans se contenter de passer parmi eux.}}
{{réf livre|titre=Le grand passage
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=152
|année=1997
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{{citation|Les choses n'ont aucun sens indépendamment de leur histoire.}}
{{réf livre|titre=Le grand passage
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=161
|année=1997
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{{citation|Tout homme sait au fond de lui que quelque chose est averti de son existence.}}
{{réf livre|titre=Le grand passage
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=168
|année=1997
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{{citation|Les actes trouvent leur existence dans le témoin.}}
{{réf livre|titre=Le grand passage
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=175
|année=1997
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{{citation|Ce qui fait de quelqu'un un bon ennemi en fait aussi un ami fidèle.}}
{{réf livre|titre=Le grand passage
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=430
|année=1997
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{{citation|Le monde ne peut pas se perdre. Mais nous, nous le pouvons.}}
{{réf livre|titre=La grand passage
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=432
|année=1997
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{{citation|Car en fin de compte la vérité ne perdure que dans la parole.}}
{{réf livre|titre=Le grand passage
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=458
|année=1997
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{{citation|Il faut persévérer. Tout est dans la persévérance.}}
{{réf livre|titre=Des villes dans la plaine
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=90
|année=2002
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{{citation|Les gens ont dans la tête une certaine idée de ce que le monde va être. De ce qu'ils vont devenir dans ce monde. Le monde peut être toutes sortes de choses différentes pour eux mais il y a un monde qui n'existera jamais et c'est le monde auquel ils rêvent.}}
{{réf livre|titre=Des villes dans la plaine
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=148
|année=2002
Ligne 253 :
{{citation|Plus grande est notre haine plus durable est leur souvenir de sorte qu'un ennemi vraiment exécré devient immortel. De sorte que l'homme qui nous a fait beaucoup de mal ou nous a fait subir une grande injustice n'a pas besoin d'invitation pour être toujours présent sous notre toit.}}
{{réf livre|titre=Des villes dans la plaine
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=212
|année=2002
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{{citation|Car le monde a une conscience, même si les gens le contestent. Et bien que cette conscience puisse être considéré comme l'addition des consciences de chacun, il y a une autre conception, qui est que la conscience peut se diviser et que tout homme en a sa part, aussi petite et imparfaite soit-elle.}}
{{réf livre|titre=Des villes dans la plaine
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=213
|année=2002
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{{citation|Une forme sans histoire n'a pas le pouvoir de se perpétuer. Ce qui n'a pas de passé ne peut avoir d'avenir.}}
{{réf livre|titre=Des villes dans la plaine
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=309
|année=2002
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{{citation|Le martyr qui aspire aux flammes n'est pas un bon candidat au bûcher.}}
{{réf livre|titre=Des villes dans la plaine
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=309
|année=2002
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{{citation|La mort de tout homme est une doublure pour toutes les autres. Et puisque la mort est notre sort commun il n'y a pas moyen d'apaiser la crainte qu'elle inspire si ce n'est d'aimer cet homme qui est là à notre place.}}
{{réf livre|titre=Des villes dans la plaine
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=317
|année=2002
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|citation=Donc il ont eu entre leurs mains ce questionnaire sur les problèmes rencontrés par les enseignants dans leur travail. Et ils ont retrouvé les formulaires qui avaient été remplis et renvoyés par des établissements de tout le pays en réponse au questionnaire. Et les plus gros problèmes signalés c'étaient des trucs comme parler en classe et courir dans les couloirs. Mâcher du chewing-gum. Copier en classe. Des trucs du même tabac. Alors les enseignants en question ont pris un formulaire vierge et en ont imprimé un paquet et ont envoyé les formulaires aux mêmes établissements. Quarante ans plus tard. Voici quelque-unes des réponses. Les viols, les incendies volontaires, les meurtres. La drogue. les suicides. Alors ça m'a fait réfléchir. Parce que la plupart du temps, chaque fois que je dis quelque chose sur le monde qui part à vau-l'eau on me regarde avec un sourire en coin et on me dit que je vieillis. Que c'est des symptômes. Mais ce que je pense à ce sujet c'est que quelqu'un qui ne peut pas voir la différence entre violer et assassiner les gens et mâcher du chewing-gum a un problème autrement plus grave que le problème que j'ai moi. C'est pas tellement long non plus quarante ans. Peut-être que les quarante prochaines années sortiront certains de leur anesthésie. Si c'est pas trop tard.}}
{{réf livre|titre=Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme
|auteur=CormackCormac McCarthy
|traducteur=François Hirch
|page=181