« Liberté » : différence entre les versions
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m →Cédric Roos, La relation d'emprise dans le soin, 2006 : maintenance |
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{{citation|citation=Dans notre système patriarcal occidental, la jeune fille ''non mariée'' appartient à son père, mais en des temps plus reculés, et comme c'est encore le cas dans certaines communautés primitives, elle était sa propre maîtresse jusqu'à son mariage. Le droit de disposer de soi-même jusqu'à ce qu'on se marie fait partie du concept primitif de la liberté. Une protection générale est accordée aux jeunes filles dans les sociétés primitives, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de la tribu [...]. Cette liberté d'action implique le droit de refuser les privautés aussi bien que celui de les accepter. Une fille appartient à ''elle-même'' tant qu'elle est vierge, célibataire, et l'on ne peut l'obliger ni à conserver sa chasteté ni à consentir à une étreinte non désirée. En tant que vierge elle n'appartient qu'à elle-même, elle est une.|précisions=Le mot vierge est à entendre dans le sens de jamais mariée.}}
{{Réf Livre|titre=Les Mystères de la femme|auteur=[[Mary Esther Harding]]|traducteur=Eveline Mahyère|éditeur=Payot & Rivages|collection=Petite Bibliothèque Payot|année=2001|année d'origine=1953|page=170|chapitre=VII. La lune mère|ISBN=2-228-89431-1}}
==== [[Yasmina Khadra]], ''L’Attentat'', 2005 ====
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