« Heinrich Heine » : différence entre les versions

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Et Baudry de conter ce joli mot de Henri Heine, à son lit de mort. Sa femme priant à ses côtés Dieu de lui pardonner, il interrompt la prière, en disant: « N’en doute pas, ma chère, il me pardonnera; c’est son métier! » - ''Journal des Goncourt: Mémoires de la vie littéraire. [http://fr.wikisource.org/wiki/Journal_des_Goncourt/II/Ann%C3%A9e_1863 Année 1863 fr.wikisource], 23 février
 
=== ''Le rabbin de Bacharat'', 1992===
{{citation|« En aval de Rheingau, à l’endroit où les rives du fleuve perdent leur mine souriante, où monts et rochers avec leurs ruines fantastiques de vieux bourgs prennent un air hautain, plus sauvage, plus grave et plus majestueux, on découvre, pareille à une légende lugubre de l’ancien temps, la vieille et sombre ville de Bacharach. »
}}
{{Réf Livre|titre =Le rabin de Bacharach II
|auteur=Heinrich Heine