« Manuel Vázquez Montalbán » : différence entre les versions

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== ''Assassinat à Prado del Rey et autres histoires sordides'', DL 2007 ==
 
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{{Réf Livre|titre='Assassinat à Prado del Rey et autres histoires sordides
|auteur= Manuel Vasquez Montalban
|traducteur=Claude Bleton
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{{Réf Livre|titre='Assassinat à Prado del Rey et autres histoires sordides
|auteur= Manuel Vasquez Montalban
|traducteur=Claude Bleton
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Particulièrement doué pour la digression, Araquistain ne se contentait pas de la cultiver : ses films étaient une digression à l’état pur, des variations autour d’une idée-prétexte qui était en définitive la seule chose qu’il n’avait pas osé modifier, mais dont on sentait qu’il en grillait d’envie.}}
 
{{Réf Livre|titre='Assassinat à Prado del Rey et autres histoires sordides
|auteur= Manuel Vasquez Montalban
|traducteur=Claude Bleton
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[…] une histoire absurde, mise à la sauce idéologique, où les personnages passaient leur temps à dire merde, putain, mes couilles, con, conditions objectives, lutte des classes et autres schémas marxistes, mais empreints d’une certaine coquetterie, d’un relent de nostalgie négative.}}
 
{{Réf Livre|titre='Assassinat à Prado del Rey et autres histoires sordides
|auteur= Manuel Vasquez Montalban
|traducteur=Claude Bleton
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Son fils unique avait épousé en Suisse une indigène qui regardait d’un mauvais œil les races peuplant les rives de la Méditerranée, sans doute son expérience matrimoniale l’avait-elle amenée à la conclusion que l’ardeur des Latins était un mythe.
}}
{{Réf Livre|titre='Assassinat à Prado del Rey et autres histoires sordides
|auteur= Manuel Vasquez Montalban
|traducteur=Claude Bleton