« Gabriel García Márquez » : différence entre les versions

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== Œuvres ==
=== ''{{w|Cent ans de solitude}}'' (''{{lang|es|Cien años de soledad}}'') , 1967 ===
{{citation|citation={{Tab}}Bien des années plus tard, face au peloton d'exécution, le colonel Aureliano Buendia devait se rappeler ce lointain après-midi au cours duquel son père l'avait emmené découvrir la glace.|original=Muchos años después, frente al pelotón de fusilamiento, el coronel Aureliano Buendía había de recordar aquella tarde remota en que su padre lo llevó a conocer el hielo.|langue=es|précisions=Incipit du roman}}
{{Réf Livre|titre=Cent ans de solitude|auteur=Gabriel Garcia Marquez|éditeur=Livre de poche|année=1968|collection=|page=9|chapitre=1|traducteur=Claude et Carmen Durand|année d'origine=19681967}}
 
{{citation|citation=Un jour que le père Nicanor s'en vint le voir sous son châtaignier avec un damier et une boîte de jetons pour le convier à jouer aux dames avec lui, José Arcadio Buendia ne voulut point accepter car, lui dit-il, jamais il n'avait pu comprendre quel sens pouvait revêtir un combat entre deux adversaires d'accord sur les mêmes principes.|original=|langue=es|précisions=}}
{{Réf Livre|titre=Cent ans de solitude|auteur=Gabriel Garcia Marquez|éditeur=Seuil|année=1995|collection=Points|page=94|chapitre=5|traducteur=Claude et Carmen Durand|année d'origine=19681967}}
 
{{Citation
|citation=Actuellement, la seule différence entre libéraux et conservateurs, c’est que les libéraux vont à la messe de cinq heures et les conservateurs à celle de huit heures.}}
 
{{Réf Livre
|titre=Cent ans de solitude
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|page=257
|traducteur=Claude et Carmen Durand
|année d'origine=19681967}}
 
{{Citation
|citation=Étourdi par deux nostalgies qui se faisaient face comme des miroirs parallèles, il perdit son merveilleux sens de l'irréalité, au point qu'il finit par leur recommander à tous de quitter Macondo, d'oublier tout ce qu'il leur avait enseigné sur le monde et le cœur humain, d'envoyer chier Horace, et, en quelque endroit qu'ils fussent, de toujours se rappeler que le passé n'était que mensonge, que la mémoire ne comportait pas de chemins de retour, que tout printemps révolu était irrécupérable et que l'amour le plus fou, le plus persistant, n'était de toute manière qu'une vérité de passade.}}
{{Réf Livre
|titre=Cent ans de solitude
|auteur=Gabriel García Márquez
|éditeur=Seuil
|année=1995
|collection=Points
|page=446
|traducteur=Claude et Carmen Durand
|année d'origine=1967
|ISBN=9782020238113}}
 
{{citation|citation=Mais avant d’arriver au vers final, il avait déjà compris qu’il ne sortirait jamais de cette chambre, car il était dit que la cité des miroirs (ou des mirages) serait rasée par le vent et bannie de la mémoire des hommes à l’instant où Aureliano Babilonia achèverait de déchiffrer les parchemins, et que tout ce qui y était écrit demeurait depuis toujours et resterait à jamais irrépétible, car aux lignées condamnées à cent ans de solitude, il n’était pas donné sur terre de seconde chance. |original=|langue=|précisions=Explicit du roman}}
{{Réf Livre|titre=Cent ans de solitude|auteur=Gabriel Garcia Marquez|éditeur=Seuil|année=1995|collection=Points|page=460|chapitre=|traducteur=Claude et Carmen Durand|année d'origine=19681967}}
 
=== ''{{w|Chronique d'une mort annoncée}}'' (''{{lang|es|Crónica de una muerte anunciada}}'') , 1981 ===