« Thomas Gifford » : différence entre les versions

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|année=2008
|éditeur=City}}
|traducteur=Jean Rosenthal}}
 
{{citation|C'est comme des œufs au jambon. Le porc est engagé. Le poulet n'est qu'impliqué.}}
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|année=2008
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|traducteur=Jean Rosenthal}}
 
{{citation|Une approche réaliste et sans impatience, c'est ce qu'il faut pour ne pas perdre la tête.}}
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|année=2008
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|traducteur=Jean Rosenthal}}
 
{{citation|La plupart d'entre nous n'ont pas d'autre avenir de ce que ce que l'on peut en voir. Notre passé, nous le gardons jalousement.}}
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|année=2008
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|traducteur=Jean Rosenthal}}
 
{{citation|Il n'y a rien de plus mort qu'un très vieux scandale.}}
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|page=301
|année=2008
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|traducteur=Jean Rosenthal}}
 
{{citation|Ah, le remède est parfois pire que le mal.}}
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|page=425
|année=2008
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{{citation|La vérité est une visiteuse que l'on accueille pas volontiers, parfois...}}
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|page=524
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|traducteur=Jean Rosenthal}}
 
{{citation|Ce que je dis, c'est ceci : quand l'ignorance est une bénédiction, c'est folie que de savoir.}}
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|page=666
|année=2008
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{{citation|L'ignorance et la foi. Elle sont faite l'une pour l'autre.}}
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{{citation|Nous sommes ce que nous sommes, chacun de nous : le prolongement du passé.}}
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|page=667
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{{DEFAULTSORT:Gifford, Thomas}}