« James Crumley » : différence entre les versions

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'''{{w|James Crumley}}''' (1939-2008) est un écrivain américain auteur de romans noirs.
 
==Citations==
 
==''Le Dernier Baiser'' , 1978==
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|page=72
|année=1978
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Philippe Garnier}}
{{Choisie citation du jour
|puce=*
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|page=131
|année=1978
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Philippe Garnier}}
 
{{citation|Là où il y a de l'argent il y a de la merde.}}
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|page=220
|année=1978
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Philippe Garnier}}
 
{{citation|Tout ce qu'on fait compte. Toute action cause des complications, des répercussions.}}
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|page=356
|année=1978
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Philippe Garnier}}
 
{{citation|On ne peut en vouloir à quelqu'un de croire à un mensonge.}}
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|page=368
|année=1978
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Philippe Garnier}}
 
{{citation|Quand on est plus capable de flancher, autant être mort.}}
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|page=387
|année=1978
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Philippe Garnier}}
 
==''Le canardCanard siffleur mexicain'' , 1993==
 
{{citation|Tout n'est pourtant qu'illusion. L'ours de la vraie vie attend tout le monde au tournant.}}
{{réf livre|titre=Le canardCanard siffleur mexicain
|auteur=James Crumley
|page=96
|année=1993
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Nicolas Richard}}
 
{{citation|Chacun connaît tout le monde, ou du moins connaît quelqu'un que tout le monde connaît.}}
{{réf livre|titre=La canardCanard siffleur mexicain
|auteur=James Crumley
|page=100
|année=1993
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Nicolas Richard}}
 
{{citation|La guerre est un jeu pour les jeunes, mais pour les vieillards, ce n'est qu'un souvenir.}}
{{réf livre|titre=Le canardCanard siffleur mexicain
|auteur=James Crumley
|page=196
|année=1993
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Nicolas Richard}}
 
{{citation|Demain la guerre sera encore là.}}
{{réf livre|titre=Le canardCanard siffleur mexicain
|auteur=James Crumley
|page=204
|année=1993
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Nicolas Richard}}
 
{{citation|L'argent c'est la drogue ultime. Et le désir, le serpent qui se mort la queue.}}
{{réf livre|titre=Le canardCanard siffleur mexicain
|auteur=james Crumley
|page=265
|année=1993
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Nicolas Richard}}
 
{{citation|Il faudrait peut-être qu'un jour on sache faire rentrer en contrebande du bon sens dans la psychée humaine.}}
{{réf livre|titre=Le canardCanard siffleur mexicain
|auteur=James Crumley
|page=320
|année=1993
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Nicolas Richard}}
 
==''Folie douce'' , 2005==
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|page=172
|année=2005
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Patrice Carrer}}
 
{{citation|Un mariage se termine parfois; un divorce jamais.}}
Ligne 113 ⟶ 124 :
|page=201
|année=2005
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Patrice Carrer}}
 
{{citation|Redoute la fantasme qui s'accomplit, mon ami. Redoute-le comme la mort.}}
Ligne 120 ⟶ 132 :
|page=260
|année=2005
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Patrice Carrer}}
 
{{citation|J'ai toujours dit que seuls les gens qui n'ont jamais rien perdu d'important ne croient pas à la vengeance.}}
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|page=270
|année=2005
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Patrice Carrer}}
 
{{citation|La technologie moderne à fait beaucoup pour adoucir la pratique des activités criminelles.}}
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|page=378
|année=2005
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Patrice Carrer}}
 
{{citation|La vie est plus importante que les idées.}}
Ligne 141 ⟶ 156 :
|page=399
|année=2005
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Patrice Carrer}}
 
 
 
{{autres projets|w=James Crumley}}