« John Cowper Powys » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications
ajout des traducteurs
Ligne 9 :
|page=24
|année=1988
|éditeur=du Seuil}}
|traducteur=Robert Pépin}}
 
{{citation|On a tous parfois besoin de se faire gifler.}}
Ligne 16 ⟶ 17 :
|page=48
|année=1988
|éditeur=du Seuil}}
|traducteur=Robert Pépin}}
 
{{citation|Personne ne peut entraver l'amour ou lui ordonner de demeurer sur place lorsqu'il entend s'envoler.}}
Ligne 23 ⟶ 25 :
|page=52
|année=1988
|éditeur=du Seuil}}
|traducteur=Robert Pépin}}
 
{{citation|Il vaut mieux couper avec les amours d'antan avant d'en prendre de nouvelles.}}
Ligne 30 ⟶ 33 :
|page=97-98
|année=1988
|éditeur=du Seuil}}
|traducteur=Robert Pépin}}
 
{{citation|Toujours obéir à sa conscience. Toujours aller son chemin à soi.}}
Ligne 37 ⟶ 41 :
|page=176
|année=1988
|éditeur=du Seuil}}
|traducteur=Robert Pépin}}
 
{{citation|En avant, en arrière, la vie n'est qu'un balancier. Tout a un commencement et une fin.}}
Ligne 44 ⟶ 49 :
|page=284
|année=1988
|éditeur=du Seuil}}
|traducteur=Robert Pépin}}
 
{{citation|L'art est une émotion, pas une sensation.}}
Ligne 51 ⟶ 57 :
|page=308
|année=1988
|éditeur=du Seuil}}
|traducteur=Robert Pépin}}
 
{{citation|C'est bien à la force qu'il faut recourir pour émonder un arbre, mais, au bout de l'opération, c'est un fruit qui naît.}}
Ligne 58 ⟶ 65 :
|page=354
|année=1988
|éditeur=du Seuil}}
|traducteur=Robert Pépin}}
 
{{citation|Mettre le chaos dans une bouteille ne fait rien avancer. Le chaos, il faut le chevaucher, lui passer le mors, et enfin la bride.}}
Ligne 65 ⟶ 73 :
|page=358
|année=1988
|éditeur=du Seuil}}
|traducteur=Robert Pépin}}
 
==''Givre et sang'', 1925==
Ligne 74 ⟶ 83 :
|page=43
|année=1973
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Diane de Margerie et François Xavier Jaujard}}
 
{{citation|L'univers est d'une étoffe plus changeante qu'on ne le croit.}}
Ligne 81 ⟶ 91 :
|page=82
|année=1973
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Diane de Margerie et François Xavier Jaujard}}
 
{{citation|Le temps avance à un rythme différent pour des esprits différents.}}
Ligne 88 ⟶ 99 :
|page=174
|année=1973
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Diane de Margerie et François Xavier Jaujard}}
 
{{citation|Rien n'est plus dur à supporter que de trahir son idéal quand cette défaillance est mal interprétée : un côté de soi est complice du juge tandis que l'autre se débat sous une honte redoublée.}}
Ligne 95 ⟶ 107 :
|page=264
|année=1973
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Diane de Margerie et François Xavier Jaujard}}
 
{{citation|Ce n'est pas avec la raison que l'on peut expliquer les femmes !}}
Ligne 102 ⟶ 115 :
|page=268
|année=1973
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Diane de Margerie et François Xavier Jaujard}}
 
{{citation|On ne déteste personne quand on est d'accord avec soi-même.}}
Ligne 109 ⟶ 123 :
|page=271
|année=1973
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Diane de Margerie et François Xavier Jaujard}}
 
{{citation|Le désir de fuir n'est que l'envers du désir de jouir des choses.}}
Ligne 116 ⟶ 131 :
|page=300
|année=1973
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Diane de Margerie et François Xavier Jaujard}}
 
{{citation|Aucun être qui s'analyse ne peut échapper à ce puissant courant de fond où se rencontrent ces deux marées contraires, la force de vie et la force de mort.}}
Ligne 123 ⟶ 139 :
|page=303
|année=1973
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Diane de Margerie et François Xavier Jaujard}}
 
{{citation|Il vaut mieux parfois se réveiller le matin comme si on venait de naître.}}
Ligne 130 ⟶ 147 :
|page=311
|année=1973
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Diane de Margerie et François Xavier Jaujard}}
 
{{citation|Rien ne donne au paysage sa valeur inestimable comme d'en connaître chaque branche et chaque pierre.}}
Ligne 137 ⟶ 155 :
|page=406
|année=1973
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Diane de Margerie et François Xavier Jaujard}}
 
==''Les sablesSables de la mer'', 1934==
 
{{citation|Tout le temps qu'on passe à penser c'est du temps perdu pour agir.}}
{{réf livre|titre=Les sablesSables de la mer
|auteur=John Cowper Powys
|page=74
|année=1972
|éditeur=Plon}}
|traducteur=Marie Canavaggia}}
 
{{citation|Nous savons ce que nous sommes, mais nous ne savons pas ce que nous pourrions êtres.}}
{{réf livre|titre=Les sablesSables de la mer
|auteur=John cowper Powys
|page=198
|année=1972
|éditeur=Plon}}
|traducteur=Marie Canavaggia}}
 
{{citation|Nous sommes tous à moitié morts et à moitié vivants.}}
{{réf livre|titre=Les sablesSables de la mer
|auteur=John Cowper Powys
|page=284
|année=1972
|éditeur=Plon}}
|traducteur=Marie Canavaggia}}
 
{{citation|Ce n'est pas plus la vie que le bruit que nous entendons n'est le port.}}
{{réf livre|titre=Les sablesSables de la mer
|auteur=John Cowper Powys
|page=382
|année=1972
|éditeur=Plon}}
|traducteur=Marie Canavaggia}}
 
{{citation|La raillerie est notre seul recours puisque nous n'avons pas le courage de fausser compagnie à l'existence.}}
{{réf livre|titre=Les sablesSables de la mer
|auteur=John Cowper Powys
|page=383
|année=1972
|éditeur=Plon}}
|traducteur=Marie Canavaggia}}
 
{{citation|Sur toute la surface de la terre, à ces heures où le pouls de la vie bat le plus lentement, le moindre mouvement de la matière prend une importance impressionnante, devient significatif, s'apparente à la fatalité - tel un pas solitaire en un univers vaste et vide.}}
{{réf livre|titre=Les sablesSables de la mer
|auteur=John Cowper Powys
|page=427
|année=1972
|éditeur=Plon}}
|traducteur=Marie Canavaggia}}
 
{{citation|Tout a toujours changé et changera toujours. En dehors de Moi qui suis Tout il n'y a rien.}}
{{réf livre|titre=Les sablesSables de la mer
|auteur=John Cowper Powys
|page=483
|année=1972
|éditeur=Plon}}
|traducteur=Marie Canavaggia}}
 
{{citation|L'homme est un animal répugnant, prodigieux par sa faculté d'exercer, sous le couvert de l'idéal, une variété de cruautés dégoûtantes.}}
{{réf livre|titre=Les sablesSables de la mer
|auteur=John Cowper Powys
|page=513
|année=1972
|éditeur=Plon}}
|traducteur=Marie Canavaggia}}
 
{{citation|La vérité n'a rien de grand. Elle est effrayante.}}
{{réf livre|titre=Les sablesSables de la mer
|auteur=John Cowper Powys
|page=514
|année=1972
|éditeur=Plon}}
|traducteur=Marie Canavaggia}}
 
{{citation|''Tout ce qui passe n'est que symbole.''}}
{{réf livre|titre=Les sablesSables de la mer
|auteur=John Cowper Powys
|page=557
|année=1972
|éditeur=Plon}}
|traducteur=Marie Canavaggia}}
 
==''La fosseFosse aux chiens'', 1952==
 
{{citation|Pour les femmes et le pain, les hommes donneraient leur tête.}}
{{réf livre|titre=La fosseFosse aux chiens
|auteur=John Cowper Powys
|page=31
|année=1976
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Daniel Mauroc}}
 
{{citation|Tout le monde le sait, amour et haine sont pile et face.}}
{{réf livre|titre=La fosseFosse aux chiens
|auteur=John Cowper Powys
|page=36
|année=1976
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Daniel Mauroc}}
 
{{citation|Quand on connaît les ficelles, plus de problèmes.}}
{{réf livre|titre=La fosseFosse aux chiens
|auteur=John Cowper Powys
|page=82
|année=1976
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Daniel Mauroc}}
 
{{citation|Il n'y a qu'une chose qui change la nature de la matière, c'est quand elle est pénétré par l'esprit.}}
{{réf livre|titre=La fosseFosse aux chiens
|auteur=John Cowper Powys
|page=173
|année=1976
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Daniel Mauroc}}
 
{{citation|Les morts sont les seules créatures qui soient totalement libérés.}}
{{réf livre|titre=La fosseFosse aux chiens
|auteur=John Cowper Powys
|page=208
|année=1976
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Daniel Mauroc}}
 
{{citation|Les pensées sont une chose. Les mots en sont une autre.}}
{{réf livre|titre=La fosseFosse aux chiens
|auteur=John Cowper Powys
|page=222
|année=1976
|éditeur=Éditions de Seuil}}
|traducteur=Daniel Mauroc}}
 
{{citation|Aucune preuve de l'étonnante ingéniosité de la Nature n'est plus difficile à admettre pour l'agile esprit d'un diplomate : les plus grandes émotions sont souvent et spontanément engendrées par le barbotage du hasard dans le chaos qu'il féconde.}}
{{réf livre|titre=La fosseFosse aux chiens
|auteur=John Cowper Powys
|page=263
|année=1976
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Daniel Mauroc}}
 
{{citation|Le grand plaisir de la vie est dans l'attente.}}
{{réf livre|titre=La fosseFosse aux chiens
|auteur=John Cowper Powys
|page=288
|année=1976
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Daniel Mauroc}}
 
{{citation|La nature n'est pas un paysage statique sur une toile tendue. C'est un visage vivant marqué par toutes nos sensations, nos larmes et nos cris, et qui nous tire une galaxie de langues !}}
{{réf livre|titre=La fosseFosse aux chiens
|auteur=John Cowper Powys
|page=292
|année=1976
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Daniel Mauroc}}
 
{{citation|La Vie, dans cette partie de billard avec le Destin, à un partenaire : le Hasard. Un Hasard pur, un Hasard aveugle, un Hasard malheureux, ou heureux, selon les circonstances.}}
{{réf livre|titre=La fosseFosse aux chiens
|auteur=John Cowper Powys
|page=369
|année=1976
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=Daniel Mauroc}}
 
{{DEFAULTSORT:Cowper Powys, John}}