« Gaston Bachelard » : différence entre les versions

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→‎L'Eau et les Rêves, 1942 : je rétablis le texte (il ne devrait pas y avoir de lien dans les citations)
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{{citation|Il faut donc opposer à l'esprit poétique expansif, l'esprit scientifique taciturne pour lequel l'antipathie préalable est une saine précaution.}}
{{Réf Livre|titre=La Psychanalyse du feu|auteur=Gaston Bachelard|éditeur=Gallimard|année=1949|collection=NRF idées|section=avant-propos|page=12}}
 
{{citation|Le feu est ainsi un phénomène privilégié qui peut tout expliquer. Si tout ce qui change lentement s'explique par la vie, tout ce qui change vite s'explique par le feu. Le feu est l'ultra-vivant. Le feu est intime et il est universel. Il vit dans notre cœur. Il vit dans le ciel. Il monte des profondeurs de la substance et s'offre comme un amour. Il redescend dans la matière et se cache, latent, contenu comme la haine et la vengeance.}}
{{Réf Livre|titre=La Psychanalyse du feu|auteur=Gaston Bachelard|éditeur=Gallimard|année=1949|collection=Folio/Essais|chapitre=1 (« Feu et respect »)|page=23}}
 
{{citation|Le rêve chemine linéairement, oubliant son chemin en courant. La rêverie travaille en étoile. Elle revient à son centre pour lancer de nouveaux rayons.}}