« Cormac McCarthy » : différence entre les versions

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[[Fichier:Cormac McCarthy signature.svg|vignette|Cormac McCarthy]]
'''{{w|Cormac McCarthy}}''' est un {{cat|écrivain}} [[:catégorie:personnalité américaine|américain]] né le {{date|20|juillet|1933|en littérature}} à [[w:Providence (Rhode Island)|Providence, Rhode Island]] ([[États-Unis]]). On le compare régulièrement à [[William Faulkner]] et, plus rarement, à [[Herman Melville]].
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{{citation|C'est une chose sacrée, une famille. Une obligation sacrée.}}
{{réf livre|titre=L'obscuritéObscurité du dehors
|auteur=Cormac McCarthy
|page=46
|année=2008
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Réfléchis longtemps et tu réfléchiras mal.}}
{{réf livre|titre=L'obscuritéObscurité du dehors
|auteur=Cormac McCarthy
|page=118
|année=2008
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Les gens durs font les temps durs.}}
{{réf livre|titre=L'obscuritéObscurité du dehors
|auteur=Cormac McCarthy
|page=178
|année=2008
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Un homme ne peut jamais savoir quel jour sera son dernier jour dans cette vallée de larmes.}}
{{réf livre|titre=L'obscuritéObscurité du dehors
|auteur=Cormac McCarthy
|page=211
|année=2008
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|La grâce de Dieu n'est pas une chose facile à porter. Elle aveugle un homme plus facilement qu'on imagine.}}
{{réf livre|titre=L'obscurtiéObscurté du dehors
|auteur=Cormac McCarthy
|page=212
|année=2008
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
== ''Un enfant de Dieu'', 1974 ==
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}}
 
{{citation|citation=Il regardait la minuscule progression de toutes ces choses dans la vallée, les champs gris qui noircissaient et se cordaient sous la charrue, la lente occlusion verte que propageaient les arbres. Assis là, sur ses talons, il laissa tomber sa tête entre les genousgenoux et se mit à pleurer.}}
{{Réf Livre|titre=Un enfant de Dieu
|auteur=Cormac McCarthy
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|page=29
|année=1998
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|On voit ce qu'on a envie de voir.}}
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|page=82
|année=1998
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Car chaque feu est tous les autres feux, le premier feu et le dernier qui sera jamais.}}
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|page=307
|année=1998
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Car l'existence possède un ordre qui lui est propre, et cela nulle intelligence humaine ne peut l'appréhender, cette intelligence elle-même n'étant qu'un fait parmi d'autres.}}
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|page=308
|année=1998
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Avant que l'homme existe la guerre l'attendait. Le metiermétier suprême attendait son suprême praticien.}}
{{réf livre|titre=Méridien de sang
|auteur=Cormac McCarthy
|page=312
|année=1998
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|La mémoire des hommes est incertaine et le passé qui a été n'est pas très différent du passé qui n'a pas existé.}}
{{réf livre|titre=Méridien de sang
|auteur=CormackCormac McCarthy
|page=411
|année=1998
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
==''[[w:De si jolis chevaux|De si jolis chevaux]]'', 1992==
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|page=35
|année=1998
|éditeur=Actes sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|On sait jamais quand on aura besoin de ceux qu'on a méprisés.}}
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|page=84
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|La connerie est jamais arrivée toute seule.}}
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|page=91
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Les cicatrices ont l'étrange pouvoir de nous rappeler que notre passé est réel.}}
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|page=154
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Dans un monde idéal le bavardage des oisifs seraient sans conséquence.}}
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|page=155
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Ce qui est sacré est sacré.}}
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|page=164
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Il n'y a pas plus terrible monstre que la raison.}}
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|page=166
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|On n'a jamais autant de temps qu'on le croit.}}
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|page=218
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|On n'accepte pas volontiers l'idée d'un sang souillé. L'idée d'une famille maudite.}}
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|page=258
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Tant de choses dépendent du hasard.}}
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|page=266
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|La communion la plus profonde est celle de la douleur.}}
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|page=268
|année=1998
|éditeur=Actes sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Le monde est tout a fait impitoyable quand il faut choisir entre le rêve et la réalité, même si nous ne voulons pas choisir. Entre le désir et la chose il y a le monde qui attend.}}
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|page=269
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Si le destin est la loi alors est-ce que le destin est aussi soumis à cette loi ?}}
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|page=271
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Le meilleur moment c'est toujours maintenant.}}
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|page=325
|année=1998
|éditeur=Actes Sud}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
==''[[w:Le Grand Passage (roman, 1994)|Le grandGrand passagePassage]]'', 1994==
 
{{citation|Car si le monde semble être un lieu où résident les hommes c'est dans l'homme en réalité que réside le monde et pour le connaître c'est donc là qu'il faut chercher et apprendre à connaître le cœur des hommes et pour cela il faut vivre avec les hommes sans se contenter de passer parmi eux.}}
{{réf livre|titre=Le grandGrand passagePassage
|auteur=Cormac McCarthy
|page=152
|année=1997
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Les choses n'ont aucun sens indépendamment de leur histoire.}}
{{réf livre|titre=Le grandGrand passagePassage
|auteur=Cormac McCarthy
|page=161
|année=1997
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Tout homme sait au fond de lui que quelque chose est averti de son existence.}}
{{réf livre|titre=Le grandGrand passagePassage
|auteur=Cormac McCarthy
|page=168
|année=1997
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Les actes trouvent leur existence dans le témoin.}}
{{réf livre|titre=Le grandGrand passagePassage
|auteur=Cormac McCarthy
|page=175
|année=1997
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Ce qui fait de quelqu'un un bon ennemi en fait aussi un ami fidèle.}}
{{réf livre|titre=Le grandGrand passagePassage
|auteur=Cormac McCarthy
|page=430
|année=1997
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Le monde ne peut pas se perdre. Mais nous, nous le pouvons.}}
{{réf livre|titre=La grandGrand passagePassage
|auteur=Cormac McCarthy
|page=432
|année=1997
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Car en fin de compte la vérité ne perdure que dans la parole.}}
{{réf livre|titre=Le grandGrand passagePassage
|auteur=Cormac McCarthy
|page=458
|année=1997
|éditeur=Éditions du Seuil}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
==''[[w:Des villes dans la plaine|Des villes dans la plaine]]'', 1998==
Ligne 292 ⟶ 323 :
|page=90
|année=2002
|éditeur=éditionsÉditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Les gens ont dans la tête une certaine idée de ce que le monde va être. De ce qu'ils vont devenir dans ce monde. Le monde peut être toutes sortes de choses différentes pour eux mais il y a un monde qui n'existera jamais et c'est le monde auquel ils rêvent.}}
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|page=148
|année=2002
|éditeur=éditionsÉditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Plus grande est notre haine plus durable est leur souvenir de sorte qu'un ennemi vraiment exécré devient immortel. De sorte que l'homme qui nous a fait beaucoup de mal ou nous a fait subir une grande injustice n'a pas besoin d'invitation pour être toujours présent sous notre toit.}}
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|page=212
|année=2002
|éditeur=éditionsÉditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Car le monde a une conscience, même si les gens le contestent. Et bien que cette conscience puisse être considéré comme l'addition des consciences de chacun, il y a une autre conception, qui est que la conscience peut se diviser et que tout homme en a sa part, aussi petite et imparfaite soit-elle.}}
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|page=213
|année=2002
|éditeur=éditionsÉditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Une forme sans histoire n'a pas le pouvoir de se perpétuer. Ce qui n'a pas de passé ne peut avoir d'avenir.}}
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|page=309
|année=2002
|éditeur=éditionsÉditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|Le martyr qui aspire aux flammes n'est pas un bon candidat au bûcher.}}
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|page=309
|année=2002
|éditeur=éditionsÉditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
{{citation|La mort de tout homme est une doublure pour toutes les autres. Et puisque la mort est notre sort commun il n'y a pas moyen d'apaiser la crainte qu'elle inspire si ce n'est d'aimer cet homme qui est là à notre place.}}
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|page=317
|année=2002
|éditeur=éditionsÉditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch et Patricia Schaeffer}}
 
==''[[w:Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme|Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme]]'', 2005==
Ligne 343 ⟶ 381 :
|page=119
|année=2006
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch}}
 
{{citation|Quelque part au monde il y a l'homme le plus invicibleinvincible. De même il y a quelque part le plus vulnérable.}}
{{réf livre|titre=Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme
|auteur=Cormac McCarthy
|page=134
|année=2006
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch}}
 
{{citation
Ligne 367 ⟶ 407 :
|page=205
|année=2006
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch}}
 
{{citation|Il vous arrive les choses qui vous arrivent. Elles ne frappent pas avant d'entrer.}}
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|page=210
|année=2006
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch}}
 
{{citation|Chaque chose que tu fais tu la fais pour toujours. Tu ne peux pas l'effacer.}}
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|page=216
|année=2006
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch}}
 
{{citation|La perspective de profits démesurés incite les gens à surestimer leurs propres aptitudes.}}
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|page=239
|année=2006
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch}}
 
{{citation|Les chose qui ont une destination commune suivent le même chemin.}}
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|page=244
|année=2006
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch}}
 
{{citation|C'est un travail de toute une vie de se voir tel qu'on est réellement et même alors on risque de se tromper.}}
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|page=281
|année=2006
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch}}
 
==''{{w|La Route (roman)|La Route}}'', 2006==
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|page=17
|année=2008
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch}}
{{Choisie citation du jour
|puce=*
Ligne 467 ⟶ 514 :
|page=120
|année=2008
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch}}
 
 
Ligne 475 ⟶ 523 :
|page=71
|année=2008
|éditeur=Éditions de l'Olivier}}
|traducteur=François Hirsch}}
 
{{citation|Ils furent rattrapés par la nuit. Le temps d'arriver au sentier du promontoire il faisait trop sombre pour voir. Ils étaient debout, le petit s'agrippant à sa main, dans le souffle du vent de mer avec l'herbe qui sifflait tout autour. On n'a qu'à continuer d'avancer, dit l'homme, viens.<br />