« James Sallis » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
maintenance
typo, ortho
Ligne 2 :
'''{{w|James Sallis}}''' est un romancier américain né le 21 décembre 1944 à Helena, en [[Arkansas]].
 
==''Le faucheuxFaucheux'', 1992==
 
{{citation|Les vieilles peur ne s'oublient pas aussi facilement.}}
{{réf livre|titre=Le faucheuxFaucheux
|auteur=James Sallis
|page=14
Ligne 12 :
 
{{citation|Les histoires nous aident à survivre.}}
{{réf livre|titre=Le faucheuxFaucheux
|auteur=James Sallis
|page=14
Ligne 19 :
 
{{citation|Il est étrange que si peu demeure une fois que nos vies sont arrivées à leur terme, une fois qu'elles sont entrées dans l'histoire. Une poignée de faits, de gestes, d'affrontements; c'est tout ce que perçoit l'observateur. Une coquille inhabitée.}}
{{réf livre|titre=Le faucheuxFaucheux
|auteur=James Sallis
|page=41
Ligne 26 :
 
{{citation|Toujours, en filigrane, une lueur dans notre vie doit briller.}}
{{réf livre|titre=La faucheuxFaucheux
|auteur=James Sallis
|page=148
Ligne 33 :
 
{{citation|Il suffit d'un changement de temps pour que se recrée le monde et nous avec.}}
{{réf livre|titre=Le faucheuxFaucheux
|auteur=James Sallis
|page=179
Ligne 40 :
 
{{citation|Peut-être le meilleur de notre vie appartient-il ''toujours'' au passé. Le bonheur, la plénitude, peut-être ces choses n'existent-elles que dans le souvenir, à travers le filtre du temps, fugaces fantômes derrière nous à jamais.}}
{{réf livre|titre=Le faucheuxFaucheux
|auteur=James Sallis
|page=202
Ligne 91 :
|éditeur=Gallimard}}
 
==''Le frelonFrelon noir'' , 1996 ==
 
{{citation|Si le corps se rebelle, il va à sa perte.}}
{{réf livre|titre=Le frelonFrelon noir
|auteur=James Sallis
|page=83
Ligne 101 :
 
{{citation|Le monde est ce qu'on en fait.}}
{{réf livre|titre=Le frelonFrelon noir
|auteur=James Sallis
|page=166
Ligne 108 :
 
{{citation|Nous sommes les choses qui nous arrivent, les gens que nous avons connus, rien de plus.}}
{{réf livre|titre=Le frelonFrelon noir
|auteur=James Sallis
|page=183
Ligne 114 :
|éditeur=Gallimard}}
 
{{citation|Le moment venu, nous connaîtrons toutes les réponses, le moment venu nous comprendroncomprendrons pourquoi.}}
{{réf livre|titre=Le frelonFrelon noir
|auteur=James Sallis
|page=197
Ligne 122 :
 
{{citation|On est jamais aussi invisible qu'on le pense. Ni nous, ni nos motivations.}}
{{réf livre|titre=Le frelonFrelon noir
|auteur=James Sallis
|page=201
Ligne 129 :
 
{{citation|Les soldats se battent toujours dans les guerres des autres.}}
{{réf livre|titre=Le frelonFrelon noir
|auteur=James Sallis
|page=207
Ligne 136 :
 
{{citation|N'ouvrez pas les portes qui ne demandent qu'à rester closes.}}
{{réf livre|titre=Le frelonFrelon noir
|auteur=James Sallis
|page=215
Ligne 142 :
|éditeur=Gallimard}}
 
==''L'oeilŒil du criquet'' , 1997==
 
{{citation|De toute évidence, les rêves sont une forme d'art, notre expression la plus personnelle. Un moyen pour nous de donner un sens à notre univers.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=30
Ligne 152 :
 
{{citation|Une nouvelle fois, je me suis demandé quelle part de notre existence nous choisissons réellement et quelle part se contente de suivre les panneaux indicateurs plantés au hasard.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=35
Ligne 159 :
 
{{citation|D'une certaine manière, on nous offre toujours de nouvelles chances.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=161
Ligne 166 :
 
{{citation|Comme c'est si souvent le cas, nous pensons parler des autres alors qu'en réalité, nous parlons de nous-mêmes.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=197
Ligne 173 :
 
{{citation|Il y a sans doute déjà trop de livre sur terre. Et certainement trop d'écrivains de seconde zone.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=204
Ligne 180 :
 
{{citation|Romans. Histoires. Essais. Tous ces trucs que les gens inventent pour tenter de comprendre et d'expliquer ce que nous fabriquons ici, à quoi rime la vie, pourquoi nous choisissons d'entreprendre certaines choses.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=207
Ligne 187 :
 
{{citation|Le temps passe, et nous, on reste.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=240
Ligne 194 :
 
{{citation|Comme toujours, nous continuons d'aller de l'avant dans l'existence, tout en essayant de comprendre les choses à reculons.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=252
Ligne 201 :
 
{{citation|Toute notre vie, chaque jour qui passe, nous nous réinventons, couche après couche, masque après masque.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=260
Ligne 208 :
 
{{citation|Tout est une question de perspective.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=276
Ligne 215 :
 
{{citation|Si vous trouvez un moyen de faire sortir ce qui est en vous, ça vous sauvera; si vous n'en trouvez aucun, ça vous tuera.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=284
Ligne 222 :
 
{{citation|La forme du pot en définit le contenu.}}
{{réf livre|titre=L'oeilŒil du criquet
|auteur=James Sallis
|page=285
Ligne 256 :
|page=138
|année=2012
|éditeur=GalimardGallimard}}
 
{{citation|Un homme a besoin de se fixer des objectifs.}}
{{réf livre|titre=BluebotleBluebottle
|auteur=James Sallis
|page=193
Ligne 360 :
|éditeur=Payot}}
 
{{citation|À situation désespérée, mesures desespéréesdésespérées.}}
{{réf livre|titre=Drive
|auteur=James Sallis