« James Sallis » : différence entre les versions

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{{Attention traducteur|date=2015-08-23}}
'''{{w|James Sallis}}''' est un romancier américain né le 21 décembre 1944 à Helena, en [[Arkansas]].
 
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|page=14
|année=2010
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Jeanne Guyon et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Les histoires nous aident à survivre.}}
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|page=14
|année=2010
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Jeanne Guyon et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Il est étrange que si peu demeure une fois que nos vies sont arrivées à leur terme, une fois qu'elles sont entrées dans l'histoire. Une poignée de faits, de gestes, d'affrontements; c'est tout ce que perçoit l'observateur. Une coquille inhabitée.}}
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|page=41
|année=2010
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Jeanne Guyon et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Toujours, en filigrane, une lueur dans notre vie doit briller.}}
{{réf livre|titre=LaLe Faucheux
|auteur=James Sallis
|page=148
|année=2010
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Jeanne Guyon et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Il suffit d'un changement de temps pour que se recrée le monde et nous avec.}}
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|page=179
|année=2010
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Jeanne Guyon et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Peut-être le meilleur de notre vie appartient-il ''toujours'' au passé. Le bonheur, la plénitude, peut-être ces choses n'existent-elles que dans le souvenir, à travers le filtre du temps, fugaces fantômes derrière nous à jamais.}}
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|page=202
|année=2010
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Jeanne Guyon et Patrick Raynal}}
 
 
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|page=33
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
{{citation|Les choses de la vie ne se produisent pas nécessairement dans l'ordre qu'on voudrait.}}
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|page=51
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
{{citation|Mais les intentions sont des choses précaires.}}
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|page=73
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
{{citation|On fait notre chemin sur cette terre, on travaille, on aime et on élève ses enfants, on lutte pour ce qu'on pense être juste, et tout ce temps on est absolument invisibles. Une fois partis, il ne reste aucune trace de notre passage.}}
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|page=121
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
{{citation|Mais personne ne peut être responsable des autres et de leur vie.}}
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|page=213
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
{{citation|Peut-être qu'on fait des choses utiles, des choses qui comptent, sans même s'en rendre compte. Peut-être que sans le savoir, c'est ce qu'on fait de mieux.}}
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|page=276
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
==''Le Frelon noir'' , 1996 ==
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|page=83
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
{{citation|Le monde est ce qu'on en fait.}}
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|page=166
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
{{citation|Nous sommes les choses qui nous arrivent, les gens que nous avons connus, rien de plus.}}
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|page=183
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
{{citation|Le moment venu, nous connaîtrons toutes les réponses, le moment venu nous comprendrons pourquoi.}}
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|page=197
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
{{citation|On est jamais aussi invisible qu'on le pense. Ni nous, ni nos motivations.}}
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|page=201
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
{{citation|Les soldats se battent toujours dans les guerres des autres.}}
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|page=207
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
{{citation|N'ouvrez pas les portes qui ne demandent qu'à rester closes.}}
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|page=215
|année=2011
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Élisabeth Guinsbourg et Stéphanie Estournet}}
 
==''L'Œil du criquet'' , 1997==
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|page=30
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Une nouvelle fois, je me suis demandé quelle part de notre existence nous choisissons réellement et quelle part se contente de suivre les panneaux indicateurs plantés au hasard.}}
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|page=35
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
{{citation|D'une certaine manière, on nous offre toujours de nouvelles chances.}}
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|page=161
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Comme c'est si souvent le cas, nous pensons parler des autres alors qu'en réalité, nous parlons de nous-mêmes.}}
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|page=197
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Il y a sans doute déjà trop de livre sur terre. Et certainement trop d'écrivains de seconde zone.}}
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|page=204
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Romans. Histoires. Essais. Tous ces trucs que les gens inventent pour tenter de comprendre et d'expliquer ce que nous fabriquons ici, à quoi rime la vie, pourquoi nous choisissons d'entreprendre certaines choses.}}
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|page=207
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Le temps passe, et nous, on reste.}}
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|page=240
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Comme toujours, nous continuons d'aller de l'avant dans l'existence, tout en essayant de comprendre les choses à reculons.}}
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|page=252
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Toute notre vie, chaque jour qui passe, nous nous réinventons, couche après couche, masque après masque.}}
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|page=260
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Tout est une question de perspective.}}
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|page=276
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
{{citation|Si vous trouvez un moyen de faire sortir ce qui est en vous, ça vous sauvera; si vous n'en trouvez aucun, ça vous tuera.}}
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|page=284
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
{{citation|La forme du pot en définit le contenu.}}
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|page=285
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet et Patrick Raynal}}
 
==''Bluebottle'', 1999==
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|page=37
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
{{citation|Il y a toujours de nouveaux commencements.}}
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|page=59
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
{{citation|Nous sommes tous des charlatans.}}
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|page=129
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
{{citation|C'est important, le respect de la tradition.}}
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|page=138
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
{{citation|Un homme a besoin de se fixer des objectifs.}}
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|page=193
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
{{citation|Rien ne peut jamais satisfaire l'esprit. Jamais.}}
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|page=204
|année=2012
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
==''Bête à bon dieu'', 2001==
Ligne 279 ⟶ 315 :
|page=61
|année=2013
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Stéphanie Estournet et Sean Seago}}
 
{{citation|Nous trimballons notre monde avec nous.}}
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|page=62
|année=2013
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Stéphanie Estournet et Sean Seago}}
 
{{citation|Les hommes ont toujours davantage en commun qu'ils ne le croient.}}
Ligne 293 ⟶ 331 :
|page=74
|année=2013
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Stéphanie Estournet et Sean Seago}}
 
{{citation|Si l'humanité ne supporte pas trop la réalité, elle n'a pas non plus besoin qu'on lui parle avec trop de vérité.}}
Ligne 300 ⟶ 339 :
|page=81
|année=2013
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Stéphanie Estournet et Sean Seago}}
 
{{citation|La plupart d'entre nous ne trouvent jamais leur place.}}
Ligne 307 ⟶ 347 :
|page=84
|année=2013
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Stéphanie Estournet et Sean Seago}}
 
{{citation|On a tous besoin d'objectifs à plus ou moins long terme.}}
Ligne 314 ⟶ 355 :
|page=154
|année=2013
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Stéphanie Estournet et Sean Seago}}
 
{{citation|Si on fixe les choses assez longtemps, on les voit se dissoudre sous nos yeux.}}
Ligne 321 ⟶ 363 :
|page=178
|année=2013
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Stéphanie Estournet et Sean Seago}}
 
{{citation|Parfois c'est seulement quand tu n'y regardes pas directement que tu es capable de voir.}}
Ligne 328 ⟶ 371 :
|page=194
|année=2013
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Stéphanie Estournet et Sean Seago}}
 
{{citation|Rien n'est plus important que les contacts que nous établissons avec les autres. C'est tout ce nous avons, finalement.}}
Ligne 335 ⟶ 379 :
|page=196
|année=2013
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Stéphanie Estournet et Sean Seago}}
 
{{citation|Parfois il suffit de tirer un simple fil qui dépasse.}}
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|page=253
|année=2013
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Stéphanie Estournet et Sean Seago}}
 
{{citation|Nos vies sont une apocalypse servie dans une toute petite tasse.}}
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|page=277
|année=2013
|éditeur=Gallimard}}
|traducteur=Stéphanie Estournet et Sean Seago}}
 
== ''{{w|Drive (roman)|Drive}}'' , 2005 ==
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|page=30
|année=2006
|éditeur=Payot}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
{{citation|À situation désespérée, mesures désespérées.}}
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|page=120
|année=2006
|éditeur=Payot}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
{{citation|Un outil en vaut bien un autre, du moment qu'il remplit sa mission.}}
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|page=164
|année=2006
|éditeur=Payot}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
{{citation|Seuls les plus chanceux sont capables d'oublier.}}
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|page=167
|année=2006
|éditeur=Payot}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
{{citation|On ne demande rien, en général, mais ça nous tombe dessus quand même. Après, ce qui compte, c'est ce qu'on en fait.}}
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|page=171
|année=2006
|éditeur=Payot}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
{{citation|De l'eau nous sommes venus. À l'eau nous retournerons.}}
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|page=174
|année=2006
|éditeur=Payot}}
|traducteur=Isabelle Maillet}}
 
==''Driven'', 2012==
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|page=42
|année=2013
|éditeur=Rivages/noir}}
|traducteur=Hubert Tézenas}}
 
{{citation|On s'imagine qu'on fait des choix. Mais la réalité, c'est que les choix nous rattrapent, se plantent sous notre nez et nous fusillent du regard.}}
Ligne 409 ⟶ 463 :
|page=44
|année=2012
|éditeur=Rivages/noir}}
|traducteur=Hubert Tézenas}}
 
{{citation|Tout est intéressant. Il suffit de regarder de près.}}
Ligne 416 ⟶ 471 :
|page=80
|année=2012
|éditeur=Rivages/noir}}
|traducteur=Hubert Tézenas}}
 
{{citation|Les agresseurs sont comme les chats : ils vous suivront d'instinct si vous fuyez. Et cela peut vous donner l'avantage.}}
Ligne 423 ⟶ 479 :
|page=91
|année=2012
|éditeur=Rivages/noir}}
|traducteur=Hubert Tézenas}}
 
{{citation|C'est fou ce que la simple courtoisie peut accomplir.}}
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|page=136
|année=2012
|éditeur=Rivages/noir}}
|traducteur=Hubert Tézenas}}
 
{{citation|Les lapins qui survivent savent quand rentrer sous terre.}}
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|page=164
|année=2012
|éditeur=Rivages/noir}}
|traducteur=Hubert Tézenas}}
 
{{citation|On ne voit jamais le monde tel qu'il est.}}
Ligne 444 ⟶ 503 :
|page=167
|année=2013
|éditeur=Rivages/noir}}
|traducteur=Hubert Tézenas}}
 
{{citation|Il est très rare que nous soyons conscients des effets immédiats ou à terme de nos actes.}}
Ligne 451 ⟶ 511 :
|page=170
|année=2012
|éditeur=Rivages/noir}}
|traducteur=Hubert Tézenas}}
 
{{autres projets|w=James Sallis}}