« Ken Bruen » : différence entre les versions

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|page=29
|année=2004
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Jean Esch}}
 
{{citation|C'est la chaussure qui fait l'homme. Cirée en crachant dessus, jusqu'à qu'on se voie dedans.}}
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|page=77
|année=2004
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Jean Esch}}
 
{{citation|En réalité, le temps ne passe pas. C'est nous qui passons.}}
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|page=219
|année=2004
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Jean Esch}}
 
==''Toxic Blues'', 2005==
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|page=41
|année=2005
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|C'est ainsi que le mal prospère, parce que des braves gens ne veulent pas faire d'histoires.}}
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|page=217
|année=2005
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
==''Le Martyre des Magdalènes'', 2006==
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|page=142
|année=2006
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
{{citation|Les Siciliens disent: si vous planifiez votre vengeance, creusez deux tombes. Une pour vous.}}
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|page=151
|année=2006
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
{{citation|Le véritable legs du suicidé est la culpabilité de ceux qui lui survivent.}}
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|page=163
|année=2006
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
{{citation|Plus que n'importe qui, les ivrognes recherchent la lumière.}}
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|page=167
|année=2006
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
{{citation|On ne peut jamais savoir ce que l'on va rencontrer au coin de la rue.}}
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|page=337
|année=2006
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
 
Ligne 81 ⟶ 91 :
|page= 86
|année= 2007
|éditeur= Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
{{citation|On peut dire tout ce qu'on veut des Irlandais, mais il ne faut pas le leur dire en face.}}
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|page= 215
|année= 2007
|éditeur= Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
{{citation|...si on souhaite changer de vie, d'état d'esprit, il faut commencer par modifier son comportement.}}
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|page=237
|année=2007
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
==''La Main droite du diable'', 2008==
Ligne 103 ⟶ 116 :
|page=62
|année=2008
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
{{citation|Le cœur désire ce qu'il ne contiendra jamais.}}
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|page=147
|année=2008
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
{{citation|Vous pouvez boire autant que vous voudrez, ce n'est pas ça qui vous donnera une personnalité.}}
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|page=154
|année=2008
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
{{citation|Les années apportent, à défaut de maturité, tout du moins un sens développé du ridicule.}}
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|page=185
|année=2008
|éditeur=Folio policier}}
|traducteur=Pierre Bondil}}
 
==''Hackman blues'', 2007==
Ligne 132 ⟶ 149 :
|page=91
|année=2007
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Simone Arous}}
 
{{citation|Aucun homme ne peut être considéré comme un raté s'il a un seul ami.}}
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|page=214
|année=2007
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Simone Arous}}
{{Choisie citation du jour
|puce=*
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|page=229
|année=2007
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Simone Arous}}
 
==''En effeuillant Baudelaire'', 2007==
{{citation|« Toutes les femmes jouent la comédie : avec les hommes, elle n'ont guère le choix. »}}
{{Réf Livre|titre=En effeuillant Baudelaire
|auteur=Ken Bruen
|page=19
|année=2007
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|« L'enfer, c'est d'avoir raté sa vie. »}}
{{Réf Livre|titre=En effeuillant Baudelaire
|auteur=Ken Bruen
|page=21
|année=2007
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|Si vous avez besoin de justifier vos amis, c'est que vous même n'en êtes pas un.}}
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|page=22
|année=2007
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|La technologie a tendance a tout rapetisser.}}
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|page=53
|année=2007
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|Ne pas se faire prendre ne signifie pas qu'on s'en sort indemne. Il faut que quelque chose meure en vous pour que le passage à l'acte devienne possible.}}
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|page=93
|année=2007
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|La folie est très sous-estimée.}}
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|page=96
|année=2007
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
==''London Boulevard'', 2008==
Ligne 206 ⟶ 232 :
|page=9
|année=2008
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|Nous croyons faire des choix, alors qu'en réalité nous ne faisons qu'assembler des bribes de conclusions préfabriquées.}}
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|page=29
|année=2008
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|Un lieu d'austérité est une nécessité absolue.}}
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|page=144
|année=2008
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|Je ne crois pas à la fidélité.}}
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|page=248
|année=2008
|éditeur=Fayard}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
==''Brooklyn Requiem'', 2010==
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|page=58
|année=2010
|éditeur=Fayard Noir}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|Quand tout va si bien, c'est que Dieu est en train de se foutre de ta gueule.}}
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|page=66
|année=2010
|éditeur=Fayard Noir}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|Si vous avez envie de vous foutre les jeunes à dos, racontez-leur comment c'était « avant ».}}
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|page=189
|année=2010
|éditeur=Fayard Noir}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}
 
{{citation|<poem>T'es un produit de la nouvelle Irlande, tu le sais, au moins ?
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|page=à retrouver
|année=2010
|éditeur=Fayard Noir}}
|traducteur=Catherine Cheval et Marie Ploux}}