« Jean Giono » : différence entre les versions
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== ''[[w:Colline (roman)|Colline]]'', 1929==
{{Citation
|citation=Il lui prend soudain le doux désir de s'abandonner dans le vent du destin comme une
Un peu de repos ! Du repos, et des seuils chauds pour boire le soleil et fumer la pipe.
}}
Ligne 37 :
== ''[[w:Regain (roman)|Regain]]'', 1930 ==
{{Citation
|citation=Il ramasse ses braies ; le
- Viens, dit Panthurle, on va à la maison.
Et elle a marché derrière lui dans le sentier.
Ligne 51 :
== ''[[w:Jean le Bleu|Jean le Bleu]]'', 1932 ==
{{Citation
|citation=Je me souviens de l'atelier de mon père. Je ne peux pas passer devant
}}
{{Réf Livre|titre=Jean le Bleu
Ligne 67 :
– Il a fait un clair de toute beauté, se disait-il.<br />
Il n'avait jamais vu ça.<br />
Le ciel tremblait comme un ciel de métal. On ne savait pas de quoi puisque tout était immobile, même le plus petit pompon d'osier. Ça n'était pas le vent. C'était tout simplement le ciel qui descendait jusqu'à toucher la terre,
|précisions=Incipit
}}
Ligne 91 :
|page=149
|collection=Les cahiers rouges
}}
== ''[[w:Le Hussard sur le toit|Le Hussard sur le toit]]'', 1951 ==
{{citation|L'aube surprit Angélo béat et muet mais réveillé. La hauteur de la colline l'avait préservé du peu de rosée qui tombe dans ces pays en été. Il bouchonna son cheval avec une poignée de bruyère et roula son porte-manteau.<br />
Les oiseaux s'éveillaient dans le vallon où il descendit. Il ne faisait pas frais même dans les profondeurs encore couvertes des ténèbres de la nuit. le ciel était entièrement éclairé d'élancements de lumière grise. Enfin, le soleil rouge, tout écrasé dans de longues herbes de nuages sombres émergea des forêts.
|précisions=Incipit
}}
{{Réf Livre
|titre=Le Hussard sur le toit
|auteur=Jean Giono
|éditeur=Gallimard
|collection=nrf
|année=1995
|année d'origine=1951
|ISBN=2-07-022826-6
|page=11
}}
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