« James Crumley » : différence entre les versions

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|auteur=James Crumley
|page=406
|année=2005
|traducteur=Nicolas Richard
|éditeur=Gallimard}}
 
{{citation|Autant de morts que de façons de mourir.}}
{{réf livre|titre=Un pour marquer la cadence
|auteur=James Crumley
|page=480
|année=2005
|traducteur=Nicolas Richard
|éditeur=Gallimard}}
 
{{citation|Le but ultime de toute confession consiste à déculpabiliser le confesseur, celui qui est coupable. On chuchote ses crimes au creux de l'oreille d'un confesseur, ou bien on les hurle à ses amis, ou alors on les confie à une feuille de papier. Les assassins ont tendance à croire qu'ils sont poète ; comme il doit être affligeant de découvrir qu'ils étaient poètes depuis le début.}}
{{réf livre|titre=Un pour marquer la cadence
|auteur=James Crumley
|page=485
|année=2005
|traducteur=Nicolas Richard
|éditeur=Gallimard}}
 
{{citation|L'astuce consiste à renier les actes mais jamais les individus. Facile. Les actes peuvent être diaboliques ; pas les gens.}}
{{réf livre|titre=Un pour marquer la cadence
|auteur=James Crumley
|page=507
|année=2005
|traducteur=Nicolas Richard
|éditeur=Gallimard}}
 
{{citation|La mort ne peut pas comprendre la vie, et la vie le lui rend bien, or en avoir l'intuition fugitive dépasse parfois les forces de l'homme.}}
{{réf livre|titre=Un pour marquer la cadence
|auteur=James Crumley
|page=515
|année=2005
|traducteur=Nicolas Richard
|éditeur=Gallimard}}
 
{{citation|Bref on picole aujourd'hui pour tenir le coup demain.}}
{{réf livre|titre=Un pour marquer la cadence
|auteur=James Crumley
|page=524
|année=2005
|traducteur=Nicolas Richard