« Heinrich Heine » : différence entre les versions

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[[Image:Heinrich-heine 1.jpg|144px|thumb|Ceci n'était qu'un prélude, là où l'on brûle des livres, on finit aussi par brûler des hommes.]]
'''[[w:Heinrich Heine|Christian Johann Heinrich Heine]]''' ([[w:13 décembre|13 décembre]] [[w:1797|1797]] – [[w:17 février|17 février]] [[w:1856|1856]]) était un journaliste, essayiste et poète romantique allemand.
 
== ''[[w:Almansor|Almansor]]'', 1823 ==
{{citation|citation=Ce n’était qu’un début. Là où on brûle des livres, on finit par brûler des hommes.
|original=Dort wo man Bücher verbrennt, verbrennt man auch am Ende Menschen.
|langue=de}}
{{Réf Livre|titre=Almansor|auteur=Heinrich Heine|éditeur=Düsseldorfer Heine-Ausgabe|année=1823|vers=243|page=16}}
== Sur son lit de mort ==
"Dieu me pardonnera, c'est son métier." - Alfred Meißner: "Heinrich Heine. Erinnerungen." Hamburg, Hoffmann und Campe 1856, [http://books.google.de/books?id=S1c6AAAAcAAJ&pg=PA259 S. 259 books.google]
 
== ''{{w|Le rabbinRabbin de Bacharach}}'', 19921840 ==
Et Baudry de conter ce joli mot de Henri Heine, à son lit de mort. Sa femme priant à ses côtés Dieu de lui pardonner, il interrompt la prière, en disant: « N’en doute pas, ma chère, il me pardonnera; c’est son métier! » - ''Journal des Goncourt: Mémoires de la vie littéraire. [http://fr.wikisource.org/wiki/Journal_des_Goncourt/II/Ann%C3%A9e_1863 Année 1863 fr.wikisource], 23 février
 
== ''Le rabbin de Bacharach'', 1992==
{{citation|« En aval de Rheingau, à l’endroit où les rives du fleuve perdent leur mine souriante, où monts et rochers avec leurs ruines fantastiques de vieux bourgs prennent un air hautain, plus sauvage, plus grave et plus majestueux, on découvre, pareille à une légende lugubre de l’ancien temps, la vieille et sombre ville de Bacharach. »
}}
{{Réf Livre|titre =Le rabinRabbin de Bacharach II
|auteur=Heinrich Heine
|éditeur=Balland
|année=1992
|page=7
|ISBN= 2.-7158-0924.-7
}}
 
== Sur son lit de mort ==
{{citation
|citation=Dieu me pardonnera, c'est son métier !
}}
{{Réf Livre
|titre= [http://books.google.de/books?id=S1c6AAAAcAAJ&pg=PA259 Heinrich Heine. Erinnerungen]
|auteur= Alfred Meissner
|éditeur= Hoffmann und Campe
|année= 1856
|page= 259
}}
 
{{citation
|citation= Et Baudry de conter ce joli mot de Henri Heine, à son lit de mort. Sa femme priant à ses côtés Dieu de lui pardonner, il interrompt la prière, en disant : « N’en doute pas, ma chère, il me pardonnera ; c’est son métier ! » - ''Journal des Goncourt: Mémoires de la vie littéraire. [http://fr.wikisource.org/wiki/Journal_des_Goncourt/II/Ann%C3%A9e_1863 Année 1863 fr.wikisource], 23 février
}}
{{Réf Livre
|titre= Journal des Goncourt : Mémoires de la vie littéraire
|auteur= Edmond et Jules de Goncourt
|éditeur= Bibliothèque-Charpentier
|année= 1891
|page= 96
|tome= 2
|partie= Année 1863
|section= 23 février
|année d'origine=
|s=Journal des Goncourt/II/Année 1863
}}
 
{{DEFAULTSORT:Heine, Heinrich}}