« François Mitterrand » : différence entre les versions

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|ISSN=1279 - 4759
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{{citation|
On a sans doute trop vite oublié la terrible confession du président Mitterrand sur son lit de mort : La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l'Amérique. Oui, une guerre méconnue, vitale, une guerre économique, sans mort apparente. Les américains veulent un pouvoir sans partage sur le monde.
|précisions=Georges-Marc Benamou, Le dernier Mitterrand, Plon, 2005
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{{Réf Livre
|titre=Le moment est venu de dire ce que j'ai vu|auteur=Philippe De Villiers|éditeur=Albin Michel|année=2015|page=327
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{{citation|
En cet instant, je réalisai sa duplicité. 'est le mentir vrai d'Aragon. Je compris qu'il y avait deux Florentins dans le même homme : l'amateur d'art et le lecteur assidu de Machiavel. Un cynique déguisé en gourmet. Il calculait. Il dessinait. Même devant la toile des autres, il tissait la sienne. Il vous regardait, il clignait, il vous jaugeait, il se servait de ses émotions pour vous capter et de la vôtre pour vous capturer ; il enveloppait son cynisme d'élégances artistiques et de hautes sagesse. Vous deveniez une chose dans son puzzle. C'était un collectionneur de noirceurs, il cherchait votre place dans son cabinet de curiosités. Et vous utilisait comme un objet. Un papillon épinglé ou un pion sur son damier.
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{{Réf Livre
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