« Grèce antique » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Hohenlinden (discussion | contributions)
Ligne 6 :
Depuis près de trente siècles, l’esprit humain tette ce symbole, le plus complet que l’antiquité grecque ait laissé. Dans son irrémédiable déval des plateaux lumineux de l’Éden et dans les successives dégringolades postérieures, l’animal raisonnable a ainsi toujours retenu l’idée d’un central rébus dont l’inespérable solution donnerait l’empire du monde aux cloportes subtils qui la découvriraient.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Sur la tombe de Huysmans|auteur=[[Léon Bloy]]|éditeur=Paris|collection=Collection des ''Curiosités littéraires''|année=1913|page=13|section=''Avant la Conversion'' : Les Représailles du Sphinx}}
 
==== [[Jacqueline de Romilly]], ''Pourquoi la Grèce'', 1992 ====
{{
citation|La Grèce inaugure une culture écrite. Mais cette culture conserve quelques échos des forces irrationnelles auxquelles elle s'arrache, et quelque chose aussi de l'intensité secrète des débuts. Elle laisse entrevoir mystères et sacrifices. Elle demeure la patrie des cosmogonies et devient vite celle du tragique. Bien plus, elle tire une part de son attrait du rayonnements des dieux et de la présence du sacré, souvent inséparable de l'humain. Comment nier que ces ombres venues de loin, cette dimension supplémentaire et la charge d'émotion qui l'accompagne jouent un rôle considérable et attirent les esprits à telle ou telle époque, et peut-être toujours, vers la Grèce antique ?
|précisions=Jacqueline de Romilly, ''Pourquoi la Grèce'' ? éditions de Fallois, 1992.
}}
{{Réf Article
|titre=l'Europe est née en Grèce
|auteur=Philippe Conrad
|publication=La Nouvelle Revue d'Histoire
|date=automne 2015
|page=17
|numéro=hors-série n°11
}}
 
[[Catégorie:Grèce antique]]