« Sigmund Freud » : différence entre les versions

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|année d'origine=1964
}}
 
{{citation|citation=[ [[Carl Gustav Jung|Jung] ]] nous apprend dans ses ''Souvenirs'' que, désorienté par la privation du guide qu'avait été Freud, il traversa alors une période de tourments intérieurs où il connut l'angoisse d'avoir à faire face, seul, à ses démons. Rêves et « visions » le hantèrent ; il se crut un instant menacé par la psychose. Il aura désormais, par expérience personnelle, ce qu'il dit quand il parle du courage nécessaire à la « confrontation avec l'inconscient ».}}
{{Réf Livre|titre=L'Oeuvre de [[Carl Gustav Jung|Jung]] et la psychologie complexe|auteur=[[Charles Baudouin]]|éditeur=Payot & Rivages|collection=Petite Bibliothèque Payot|année=2002|année d'origine=1963|page=16|partie=Introduction|chapitre=|section=''Maître (1913)''|ISBN=2-228-89570-97}}
 
{{citation|citation=<poem>La théorie de Freud rattache les troubles nerveux à certains chocs, à certains ''traumatismes'', c'est-à-dire à des cicatrices affectives, dont les principales se situeraient dans l'enfance. Cependant, Freud lui-même, pour rendre compte de l'action à retardement de ces chocs (puisque la maladie éclate en général longtemps après, au cours de l'âge adulte), a fait appel à une autre notion, celle de ''régression''. A la suite d'accidents ultérieurs, la « libido », l'énergie affective de l'être, reflue ; refluant, elle rencontre les traces des chocs anciens, qui constituent pour elle des lieux de stagnation privilégiés ; c'est ainsi que ces traces se trouvent ravivées (qu'une peur d'enfance ressuscite en phobie ou en angoisse), et que la névrose éclate.