« Lord Byron » : différence entre les versions

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== D'autres auteurs à son sujet ==
{{citation|citation=Byron, élevé en calviniste, croit à la prédestination et, se constatant diabolique, attend l'enfer. Quand il dort, abrité par les rideaux rouges d'une courtine, il rêve des flammes éternelles. Les cauchemars de Hugo sont apocalyptiques, ceux de Byron sont sataniques. Mais à l'état de veille, c'est Byron qui, des deux, a le plus de bon sens.}}
{{Réf Livre|titre=Don Juan ou la vie de Byron|auteur=[[w:André Maurois]]|éditeur=Grasset|collection=Les Cahiers Rouges|année=2006|année d'origine=1952|page=13|section=Préface|ISBN=2-246-14564-3}}
 
{{citation|citation=Garçon privé de père, il avait appris très jeune à mépriser toute autorité. Son esprit ne reconnaissait pas le devoir d'obéir à des êtres dont il avait découvert les faiblesses ; son orgueil lui défendait de plier par prudence, à défaut de respect.}}
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{{citation|citation=Bibliographie et filmographie sont là pour témoigner combien Byron a constamment été — et reste donc — une valeur sûre de la production d'ouvrages et de documents audiovisuels au niveau planétaire. Mais, à force de s'intéresser à tel épisode italien ou à tel aspect de l'histoire gréco-turque, de sublimer le don Juan, de magnifier le héros de la liberté ou de sataniser le poète de "Childe Harold", à force donc de "romaniser" à l'envi Byron, ces cinq lettres censées faire du chiffre, on a fini par en oublier un aspect essentiel : la racine éminemment écossaise du personnage. (...) C'est a priori, mais a priori seulement que Byron paraît anglais. En réalité, ce poète est écossais. Le distinguo ne relève pas du tout — tant s'en faut — de la nuance.}}
{{Réf Livre|titre=Carré d'Art|auteur=[[{{w:|Jean-Pierre Thiollet]]}}|éditeur=Anagramme|année=2008|page=30|section=Byron : Scotland Yards|ISBN=978-2-35035-189-6}}
 
{{citation|citation=Certes, son nom et son ascendance font de Byron un aristocrate. Mot dont le poids est sans aucun doute plus lourd d'implications que dans le cas de Barbey d'Aurevilly et qu'il est probablement plus que difficile de mesurer dans toute sa spécificité pour qui a toujours vécu sous des plafonds situés à la hauteur normative de 2,50 mètres du sol et n'a jamais eu, ne serait-ce que le souvenir, de personnel de maison...}}