« René Boylesve » : différence entre les versions
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" Des femmes qui avaient mis de légers châles et des foulards à l’approche du soir, les enlevaient, se dégageaient le cou, du mouvement onduleux et câlin d’une chatte, enfin tendaient véritablement aux baisers aériens leurs joues, peut-être leurs lèvres. " chap. I
Edition Ollendorff - 1898
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