« René Boylesve » : différence entre les versions

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== ''Je vous ai désirée un soir'' ==
{{citation| Par suite de quelles circonstances réunies, et chacune sans doute impondérable, cette ligne d'un corsage féminin plus imposée qu'offerte à ma vue, durant un office religieux, anima-t-elle mes sens jusque là si tranquilles ?... Mais d'où vient la forme qui touche ?}} p51
{{Réf Livre|titre='Je vous ai désirée un soir'
|auteur=[[w:René Boylesve|René Boylesve]]
|éditeur=Fayard, Le livre de demain
|année=1924
|p51page=51 }}
 
{{citation| Ma sérénité, ma docilité, ma régularité, ma piété tombèrent là, à cette heure et à cet endroit précis. ...}} p52 {{Réf Livre|titre='Je vous ai désirée un soir'
{{Réf Livre|titre='Je vous ai désirée un soir'
|auteur=[[w:René Boylesve|René Boylesve]]
|éditeur=Fayard, Le livre de demain
|année=1924
|p52page=52}}
 
{{citation| Elle court avec moi jusqu'au divan de perse bleue fatigué, et là, m'écrase contre cette poitrine qui, aujourd'hui, pour moi, a lutté victorieusement contre la cause de Dieu.}} {{Réf Livre|titre='Je vous ai désirée un soir'
{{Réf Livre|titre='Je vous ai désirée un soir'
|auteur=[[w:René Boylesve|René Boylesve]]
|éditeur=Fayard, Le livre de demain
|année=1924
|p55page=55}}
 
{{citation| ... j'avais découvert le talisman qui m'a consolé de toutes les déconvenues pendant le reste de ma vie " : " une interprétation à la fois amère et souriante de tous les agissements des hommes me parut, dès seize ans, être la définitive sagesse.}} p59
{{Réf Livre|titre='Je vous ai désirée un soir'
|auteur=[[w:René Boylesve|René Boylesve]]
|éditeur=Fayard, Le livre de demain
|année=1924
| p59page=59}}
 
Edition Fayard, Le livre de demain - 1924
 
== ''[[{{w:Le Parfum des îles Borromées]]}}'' ==
 
{{citation| Des femmes qui avaient mis de légers châles et des foulards à l’approche du soir, les enlevaient, se dégageaient le cou, du mouvement onduleux et câlin d’une chatte, enfin tendaient véritablement aux baisers aériens leurs joues, peut-être leurs lèvres. }}
{{Réf Livre|titre=''Le Parfum des îles Borromées''
|auteur=[[w:René Boylesve]]
|éditeur= Ollendorff
|année=1898
|page=3}}
 
Edition Ollendorff - 1898- chap. I
 
== ''[[w:L'enfant à la balustrade ]]'' ==
 
== ''[[{{w:L'enfantEnfant à la balustrade ]] }}'' ==
{citation| Je me souviens qu'un matin d'avril ou de mai mon père me fit monter avec lui dans sa voiture pour aller à la campagne chez ma tante Planté. La remise et l'écurie donnaient [[w:René Boylesve|René Boylesve]]sur une ruelle étroite et assez mal entretenue où l'on se heurtait à des charrettes à bras, à des tonneaux et aux appareils de M. Fesquet qui était bouilleur de cru. Il n'y avait donc rien d'attrayant en cet endroit, sauf peut-être une branche d'acacia fleuri dépassant le mur de Mme Auxenfants, et la légèreté du ciel de Touraine. Cependant, au moment où le cabriolet s'ébranla dans cette vilaine ruelle, j'eus une singulière émotion heureuse. }} p. 1 et 2
 
{citation| Je me souviens qu'un matin d'avril ou de mai mon père me fit monter avec lui dans sa voiture pour aller à la campagne chez ma tante Planté. La remise et l'écurie donnaient [[w:René Boylesve|René Boylesve]]sur une ruelle étroite et assez mal entretenue où l'on se heurtait à des charrettes à bras, à des tonneaux et aux appareils de M. Fesquet qui était bouilleur de cru. Il n'y avait donc rien d'attrayant en cet endroit, sauf peut-être une branche d'acacia fleuri dépassant le mur de Mme Auxenfants, et la légèreté du ciel de Touraine. Cependant, au moment où le cabriolet s'ébranla dans cette vilaine ruelle, j'eus une singulière émotion heureuse. }} p. 1 et 2
Edition Calmann-Lévy - 1903
{{Réf Livre|titre=''L'Enfant à la balustrade''
|auteur=[[w:René Boylesve]]
Edition |éditeur=Calmann-Lévy - 1903
|année=1903
|page=1}}