« Femme » : différence entre les versions

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|collection=Bouquins
|s=Mon cœur mis à nu}}
 
 
=== [[Charles Baudelaire]], ''Le Peintre de la vie moderne'', 1863 ===
{{citation|La femme est sans doute une lumière, un regard, une invitation au bonheur, une parole quelquefois ; mais elle est surtout une harmonie générale, non-seulement dans son allure et le mouvement des ses membres, mais aussi dans les mousselines, les gazes, les vastes et chatoyantes nuées d’étoffes dont elle s’enveloppe, et qui sont comme les attributs et le piédestal de sa divinité ; dans le métal et le mineral qui serpentent autour de ses bras et de son cou, qui ajoutent leurs étincelles au feu de ses regards, ou qui jasent doucement à ses oreilles. Quel poëte oserait, dans la peinture du plaisir causé par l’apparition d’une beauté, séparer la femme de son costume ? Quel est l’homme qui, dans la rue, au théâtre, au bois, n’a pas joui, de la manière la plus désintéressée, d’une toilette savamment composée, et n’en a pas emporté une image inséparable de la beauté de celle à qui elle appartenait, faisant ainsi des deux, de la femme et de la robe, une totalité indivisible ? C’est ici le lieu, ce me semble, de revenir sur certaines questions relatives à la mode et à la parure, que je n’ai fait qu’effleurer au commencement de cette étude, et de venger l’art de la toilette des ineptes calomnies dont l’accablent certains amants très-équivoques de la nature.}}
{{Réf Livre
|titre=Œuvres complètes de Charles Baudelaire III. L’Art romantique
|auteur=Charles Baudelaire
|éditeur=Calmann Lévy
|année=1885
|page=98
|partie=Le Peintre de la vie moderne
|chapitre=La femme
|année d'origine=
|collection=
|s=Le Peintre de la vie moderne/X#98}}
 
 
===Charles Fourier===
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|page=37
}}
 
==Hervé Lauwick==
{{citation|citation=Les Anglaises adorent les chevaux mais semblent ignorer les bidets.}}
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