« Carlos Ruiz Zafón » : différence entre les versions

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{{Citation|Ah ! l'armée, fléau et refuge tribal du corporatisme simiesque.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=148}}
 
{{Citation|{{personnage|Fermín}} — Les gens caquettent à qui mieux mieux. L'homme de descend pas du singe, il descend de la poule.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=166|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=3}}
 
{{Citation|M. Frederico vivait avec une mère octogénaire et sourde comme un pot, connue dans le quartier sous le nom de ''La Pepita'' et célèbre pour ses flatuosités qui faisaient chuter de son balcon les moineaux étourdis par leur force cyclonique.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=130|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=5}}
 
{{Citation|Le destin attend toujours au coin de la rue. Comme un voyou, une pute ou un vendeur de loterie : ses trois incarnations favorites. Mais il ne démarche pas à domicile, il faut aller à sa rencontre.}}