« Carlos Ruiz Zafón » : différence entre les versions

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{{Citation|M. Frederico vivait avec une mère octogénaire et sourde comme un pot, connue dans le quartier sous le nom de ''La Pepita'' et célèbre pour ses flatuosités qui faisaient chuter de son balcon les moineaux étourdis par leur force cyclonique.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=130204|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=5}}
 
{{Citation|{{personnage|Daniel}} — Un bon père ?<br />{{personnage|Fermín}} — Oui, comme le vôtre. Un homme possédant une tête, un cœur et une âme. Un homme capable d'écouter, de guider et de respecter un enfant, et non de l'étouffer sous ses propres défauts.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=245|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=9}}
 
{{Citation|Le destin attend toujours au coin de la rue. Comme un voyou, une pute ou un vendeur de loterie : ses trois incarnations favorites. Mais il ne démarche pas à domicile, il faut aller à sa rencontre.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=250}}
 
{{Citation|Des années d'enseignement lui avait donné le ton ferme et didactique de celui qui est habitué à être entendu mais se demande s'il est écouté.}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=266|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=12}}
 
{{Citation|Elle s'éloigna dans l'obscurité, portant toujours son seau et traînant son ombre comme un voile nuptial.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=333|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=17}}
 
{{Citation|J'observai le groupe de déchets humains qui gisait là et leur souris. Leur simple vue me suggéra que l'on pourrait s'en servir pour faire la propagande du vide moral de l'univers et de la brutalité mécanique avec laquelle celui-ci détruisait les pièces devenues inutiles.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=334|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=17}}
 
{{Citation|L'attente est la rouille de l'âme.}}
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{{Citation|Faire confiance aux femmes est une chose, et faire confiance à ce qu'elles disent en est une autre.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=347}}
 
{{Citation|<poem>Mme Aldaya n'était qu'un élément du décors, un personnage secondaire qui entrait et sortait selon les indications de la mise en scène. Avant d'aller se coucher, elle allait souhaiter bonne nuit à sa fille et lui assurait qu'elle l'aimait plus que tout au monde, qu'elle était ce qu'il y avait de plus important dans l'univers. Jacinta ne dit jamais à Pénélope qu'elle l'aimait. La gouvernante savait qu'aimer vraiment c'est aimer en silence, avec des actes et non des mots.</poem>}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=350|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=18}}
 
{{Citation|<poem>- De quoi souffre-t-il ?