« Carlos Ruiz Zafón » : différence entre les versions

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{{Citation|Le destin attend toujours au coin de la rue. Comme un voyou, une pute ou un vendeur de loterie : ses trois incarnations favorites. Mais il ne démarche pas à domicile, il faut aller à sa rencontre.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur= Grasset|année=2004|page=250}}
 
{{Citation|Le moyen le plus efficace de rendre les pauvres inoffensifs est de leur apprendre à vouloir imiter les riches.}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=262|partie=1954 - Villes d'ombres|chapitre=12}}
 
{{Citation|Des années d'enseignement lui avait donné le ton ferme et didactique de celui qui est habitué à être entendu mais se demande s'il est écouté.}}
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{{Citation|[…] nous restons vivants tant que quelqu'un se souvient de nous.}}
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=481}}
 
{{Citation|{{personnage|Miquel Moliner}} — La difficulté n'est pas de gagner de l'argent, se lamentait-il. La difficulté est de le gagner en faisant quelque chose qui en vaille la peine.}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=491|partie=Nuria Montfort: mémoire de revenants|chapitre=2}}
 
{{Citation|Francisco Javier Fumero était entré dans la Brigade Criminelle, où il y avait toujours un emploi pour un personnel qualifié, capable d'affronter les affaires les plus difficiles et les plus ingrates, où la discrétion était de rigueur pour que des gens respectables puissent continuer de vivre avec leurs illusions.}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=513|partie=Nuria Montfort: mémoire de revenants|chapitre=5}}
 
{{Citation|Ce que le fleuriste avait interprété comme de la mauvaise humeur n'était que la fermeté d'esprit de ceux qui, mieux vaut tard que jamais, ont trouvé un but dans leur vie et le poursuivent avec la férocité que donne le temps gaspillé.}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=536|partie=Nuria Montfort: mémoire de revenants|chapitre=8}}
 
{{Citation|Deux hommes chargèrent les corps et suggérèrent au gérant du café de tout oublier sous peine de connaître de graves problèmes. N'oublie jamais la faculté d'oublier qu'élèvent les guerres, Daniel.}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=540|partie=Nuria Montfort: mémoire de revenants|chapitre=9}}
 
{{Citation|Je dus prendre sur moi pour ne pas courir dans la rue, pour garder le pas anonyme et gris des gens sans secrets.}}
 
{{Réf Livre|titre=L'ombre du vent |auteur=Carlos Ruiz Zafón|traducteur=François Maspero|éditeur=Grasset|année=2004|page=542|partie=Nuria Montfort: mémoire de revenants|chapitre=9}}
 
== ''[[w:Le Jeu de l'ange|Le Jeu de l'ange]]'', 2008 ==