« Père » : différence entre les versions

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==== [[Jean-Jacques Rousseau]] ====
{{citation|citation=Qu'une fille manque de raison, d'expérience pour juger de la sagesse et des moeursmœurs, un bon père y doit suppléer sans doute ; son droit, son devoir même est de dire : Ma fille, c'est un honnête homme, ou, c'est un fripon ; c'est un homme de sens, ou, c'est un fou. Voilà les convenances dont il doit connaître ; le jugement de toutes les autres appartient à la fille.}}
{{Réf Livre|titre=Julie ou La nouvelle Héloïse|auteur=[[Jean-Jacques Rousseau]]|éditeur=Garnier-Flammarion|collection=GF Flammarion|année=1967|année d'origine=1761|page=135|partie=II|section=Lettre II de Milord Edouard à Claire|ISBN=2-08-070148-7}}
 
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C'est alors que le Diable intervint. Ne pouvant accepter l'évasion d'une de ses créatures, il quitta sa tour de silence et accourut, détermine à enfermer Dolman dans les perspectives toujours changeantes d'une souffrance sans issue. On pense bien qu'il ne pouvait permettre l'anéantissement de la fange, il en avait trop besoin pour consolider son règne. Il retroussa donc ses babines et se prépara à la lutte. Il ne laissa rien au hasard car l'imprévu est père du rire et le rire libère, allège et arrache le guidon des pattes démoniaques.</poem>}}
{{Réf Article|titre=Dolman le maléfique|auteur=[[Joyce Mansour]]|publication=La Brèche|numéro=1|date=Octobre 1961|page=50}}
 
 
==== [[James Joyce]] ====
{{Citation|citation=Il ceignit ses cheveux ébouriffés d'une couronne de feuilles de vigne en souriant à Vincent. Cette réponse et ces feuilles, lui dit Vincent, vous feront une parure plus convenable quand quelque chose de plus, de beaucoup plus qu'une poignée de poésies fugitives pourra se réclamer de votre génie comme d'un père. Tous ceux qui vous veulent du bien en forment le voeuvœu. Tous désirent vous voir réaliser l'oeuvreœuvre que vous méditez.}}
{{Réf Livre|titre=Ulysse|auteur=[[James Joyce]]|traducteur=Auguste Morel|éditeur=Gallimard|collection=Folio|année=1957|année d'origine=1922|page=647|ISBN=2-07-040018-2}}
==== [[Mary Esther Harding]], ''Les Mystères de la femme'', 1953 ====
{{citation|citation=Dans notre système patriarcal occidental, la jeune fille ''non mariée'' appartient à son père, mais en des temps plus reculés, et comme c'est encore le cas dans certaines communautés primitives, elle était sa propre maîtresse jusqu'à son mariage. Le droit de disposer de soi-même jusqu'à ce qu'on se marie fait partie du concept primitif de la liberté. Une protection générale est accordée aux jeunes filles dans les sociétés primitives, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de la tribu [...]. Cette liberté d'action implique le droit de refuser les privautés aussi bien que celui de les accepter. Une fille appartient à ''elle-même'' tant qu'elle est vierge, célibataire, et l'on ne peut l'obliger ni à conserver sa chasteté ni à consentir à une étreinte non désirée. En tant que vierge elle n'appartient qu'à elle-même, elle est une.}}
{{Réf Livre|titre=Les Mystères de la femme|auteur=[[Mary Esther Harding]]|traducteur=Eveline Mahyère|éditeur=Payot & Rivages|collection=Petite Bibliothèque Payot|année=2001|année d'origine=1953|page=170|chapitre=VII. La lune mère|ISBN=2-228-89431-1}}
 
 
==== Gérard Pirlot/[[Jean-Louis Pedinielli]] ====
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{{DEFAULTSORT:Pere}}
 
[[Catégorie:Famille]]
[[Catégorie:Parent]]
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