« Arabes » : différence entre les versions

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|page=50-51}}
 
{{Citation|Que leurs attitudes et comportements soient spécifiques, régionaux ou plus généraux, les sociétés arabes ont réalisé autrefois et produisent aujourd'hui des oeuvresœuvres (au sens le plus large) de haute qualité. Elles ont apporté une contribution de grande valeur au patrimoine commun de la culture humaine. Les Arabes ont manifesté et manifestent des qualités qui doivent être appréciées. Dans le comportement quotidien, on trouve chez nombre d'entre eux beaucoup d'humanité, d'intelligence, de sensibilité, de bienveillance. Si aucun peuple ne doit être admiré totalement et sans critique non plus que soutenu inconditionnellement dans toutes ses entreprises, le peuple arabe a prouvé par son bilan culturel historique qu'il mérite l'estime de toutes les autres collectivités humaines, de même que ses objectifs légitimes (ou ce que ses objectifs ont de légitime) devraient obtenir appui et solidarité.}}
{{Réf Livre|titre=Les Arabes
|auteur=[[:w:Maxime Rodinson|Maxime Rodinson]]
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{{citation|La perfection que nous avons reconnue dans tous les organes de la vie intérieure et dans ceux de la vie de relation chez les Arabes, annonce en effet une intelligence innée proportionnée à cette perfection physique, et sans doute supérieure, toutes choses égales d'ailleurs, à celle, par exemple, des peuples du nord de la terre. [...] Il est vraisemblable que le climat de l'Arabie, la vie sobre, régulière et simple de cette race d'homme qui a pris naissance dans cette riche et fertile contrée, ont contribué à leur donner cette perfectibilité d'organes et cette intelligence rare qui en fait, en quelque sorte, une espèce à part. [...] On est loin de trouver cette perfectibilité physique chez les nations mélangées d'une partie de l'Asie, de l'Amérique, et surtout chez celles de l'Europe septentrionale. D'après cela, je me persuade que le berceau du genre humain se trouve dans le pays que nous avons désigné [...].
J'ai trouvé chez les Espagnols, les Basques et les Catalans une grande analogie dans les qualités physiques et instinctives avec les Arabes desquels sans doute la plupart des habitants de l'Espagne et de nos montagnes pyrénéennes sont descendus; je pourrais y ajouter les habitants de la Corse et ceux de plusieurs autres îles de la Méditerranée. Les peuples ou les individus des autres contrées de la terre, dont les formes de la tête et la structure des organes s'approchent le plus de l'état physique des vrais Arabes, ont nécessairement une perfectibilité proportionnée dans leurs fonctions sensitives et dans leurs facultés intellectuelles.
 
}}
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{{Citation|Je citerai les Arabes. Comme les monuments égyptiens nous les représentent, ainsi les trouvons-nous encore, non seulement dans les déserts arides de leur pays, mais dans les contrées fertiles, souvent humides, du Malabar et de la côte de Coromandel, dans les îles de la mer des Indes, sur plusieurs points de la côte septentrionale de l'Afrique, où ils sont, à la vérité, plus mélangés que partout ailleurs ; et leur trace se rencontre encore dans quelques parties du Roussillon, du Languedoc et de la plage espagnole, bien que deux siècles, à peu près, se soient écoulés depuis leur invasion.}}
{{Réf Livre|titre=Essai sur l'inégalité des races humaines
|auteur=[[:w:Joseph Arthur de Gobineau |Joseph Arthur de Gobineau ]]
|éditeur=Librairie de Paris
|année=1853
|tome=1
|page=205}}
 
 
=== [[René Martial]] ===
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{{réf Livre
|auteur=Voltaire
|titre=OeuvresŒuvres complètes de Voltaire
|titre de la contribution=[http://books.google.fr/books?id=oxAvAAAAMAAJ&pg=PA264 Préface de l’Essai sur l’Histoire universelle]
|année de la contribution=1754
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{{réf Livre
|auteur=Voltaire
|titre=OeuvresŒuvres complètes de Voltaire
|titre de la contribution=Essais sur les Mœurs
|année de la contribution=1756
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{{réf Livre
|auteur=Voltaire
|titre=OeuvresŒuvres complètes de Voltaire
|titre de la contribution=Essais sur les Mœurs
|année de la contribution=1756
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|tome=11}}
 
{{citation|Les Arabes polirent l’Asie, l’Afrique, et une partie de l’Espagne, jusqu’au temps où ils furent subjugués par les Turcs, et enfin chassés par les Espagnols; alors l’ignorance couvrit toutes ces belles parties de la terre; des moeursmœurs dures et sombres rendirent le genre humain farouche de Bagdad jusqu’à Rome.}}
{{réf Livre
|auteur=Voltairela
|titre=OeuvresŒuvres complètes de Voltaire
|titre de la contribution=Essais sur les Mœurs
|année de la contribution=1756
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