« Imagination » : différence entre les versions

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L''''[[w:Imagination|imagination]]''' est la capacité innée et le processus d'inventer un champ personnel partiel ou complet à travers l'esprit à partir d'éléments dérivés de perceptions sensorielles de l'existence commune.
 
 
==== [[Jacques Abeille]]====
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{{citation|citation=Un être privé de la ''fonction de l'irréel'' est un névrosé aussi bien que l'être privé de la ''fonction du réel''. On peut dire qu'un trouble de la fonction de l'irréel retentit sur la fonction du réel. Si la fonction ''d'ouverture'', qui est proprement la fonction de l'imagination, se fait mal, la perception elle-même reste obtuse. On devra trouver une filiation régulière du réel à l'imaginaire.}}
{{Réf Livre|titre=L'Air et les Songes — Essai sur l'imagination du mouvement|auteur=[([Gaston Bachelard]]|éditeur=Le Livre de Poche|collection=Biblio Essais|année=1992|année d'origine=1943|page=13|partie=III|chapitre=Introduction : « Imagination et mobilité »|ISBN=978-2-253-06100-7}}
 
{{citation|citation=De notre point de vue très particulier, l'habitude est l'exacte antithèse de l'imagination créatrice. L'image habituelle arrête les forces imaginantes. L'image apprise dans les livres, surveillée et critiquée par les professeurs, bloque l'imagination.}}
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{{citation|Ce n'est pas la crainte de la folie qui nous forcera à laisser en berne le drapeau de l'imagination.}}
{{Réf Livre|titre=Manifestes du surréalisme|auteur=[[André Breton]]|éditeur=Gallimard|collection=Folio essais|page=16|ISBN=2-07-032279-3|année=1985|année d'origine=1924}}{{Choisie citation du jour|puce=*|année=2009|mois=juillet|jour=23|commentaire=|}}
 
 
==== [[René Char]] ====
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==== [[René Crevel]] ====
 
 
{{Citation|citation=<poem>[[Lénine]], plus et mieux que jamais, nous apparaît incontestable, lorsqu’il déclare :
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==== [[Alexandre Dumas]] ====
{{Citation|citation=<poem>Il est vrai que la nuit, quand je pouvais prendre sur moi de fermer mes volets aux rayons tentateurs de la lune ; quand je pouvais détourner mes regards de ce ciel tout scintillant d'étoiles ; quand je pouvais m'isoler avec ma propre pensée, je ressaisissais quelque empire sur moi-même. Mais, comme un miroir, mon esprit avait conservé un reflet de ses préoccupations de la journée, et, comme je l'ai dit, ce n'étaient plus des créatures humaines avec leurs passions terrestres qui m'apparaissaient, c'étaient de beaux anges qui, à l'ordre de Dieu, traversaient d'un coup d'aile ces espaces infinis ; c'étaient des démons proscrits et railleurs, qui, assis sur quelque roche nue, menaçaient la terre ; c'était enfin une oeuvreœuvre comme ''La Divine Comédie'', comme le ''Paradis perdu'' ou comme ''Faust'', qui demandait à éclore, et non plus une composition comme ''Angèle'' ou comme ''Antony''.
Malheureusement je n'étais ni [[Dante Alighieri|Dante]], ni Milton, ni [[Johann Wolfgang von Goethe|Goethe]].</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Le Bagnard de l'Opéra|auteur=[[Alexandre Dumas]]|éditeur=Magnard|collection=Classiques & Contemporains|année=2001|année d'origine=1868|page=10|section=1. Le forçat|ISBN=978-2-210-75424-9}}
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[[Catégorie:Pensée]]
[[Catégorie:Psychologie cognitive]]
 
 
[[cs:Fantazie]]