« Mort » : différence entre les versions
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==== [[Ingrid Astier]], ''Angle mort'', 2013 ====
{{citation|citation=Comment pouvait-on accepter la mort de ceux que l’on aime ? La réponse l’avait réconciliée avec la vie, avec cette douleur culpabilisante de leur survivre.<
On n’accepte jamais.}}
{{Réf Livre|référence=Angle mort/Gallimard-Folio Policier|page=18}}
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{{Citation|citation=<poem>
Mains ouvertes des morts sous les feuilles de la forêt </poem>}}
{{Réf Article|titre=Le Carreau sans
==== [[Paul Léautaud]] ====
Ligne 224 :
==== [[Giacomo Leopardi]] ====
{{Citation|citation=<poem>LA MORT. ''Finalement, je veux bien croire que tu es ma
{{Réf Livre|titre=Petites œuvres morales [http://books.google.fr/books?id=ADnhlL0ga7kC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false (texte en ligne)]|auteur={{w|Giacomo Leopardi|Giacomo Leopardi}}|éditeur=Allia|année=1992 pour la traduction|page=25|}}
Ligne 293 :
==== [[Edgar Allan Poe]] ====
{{citation|citation=Le
{{Réf Livre|titre=Nouvelles histoires extraordinaires|auteur=[[Edgar Allan Poe]]|traducteur=[[Charles Baudelaire]]|éditeur=Gallimard|collection=Folio Classiques|année=2006|année d'origine=1857|page=288|section=Colloque entre Monos et Una|ISBN=978-2-07-033897-9}}
Ligne 373 :
Siffle, et, fendant les airs, vous frappe sans pardon</poem>
|précisions= La mort}}
{{réf Livre|titre=
{{citation|<poem>
Ligne 384 :
Au fond d'une tranchée obscure ou d'un talus
Rouler, le crâne ouvert par quelque éclat d'obus.</poem>|précisions=L'apollon de Pont-Audemer.}}
{{réf Livre|titre=
==== [[Romain Gary]] ====
{{citation|citation=Vers le milieu de la nuit, seulement, il pensa qu'il allait mourir. Il ne savait pas comment on meurt. Sans doute un homme meurt-il lorsqu'il est prêt à mourir, et il est prêt lorsqu'il est trop malheureux. Ou bien, peut-être, un homme meurt-il lorsqu'il ne lui reste plus rien d'autre à faire. C'est un chemin qu'un homme prend lorsqu'il n'a plus où aller... Mais il ne mourut pas. Son
{{Réf Livre
|titre=Éducation européenne
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==== Yasmina Khadra, ''Ce que le jour doit à la nuit'', 2008 ====
{{citation|citation=Le fait de se réveiller le matin relevait du [[miracle]], et la [[nuit]], lorsqu’on s’apprêtait à dormir, on se demandait s’il n’était pas raisonnable de
{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=Ce que le jour doit à la nuit|éditeur=Pocket|année=2008|page=12}}
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