« Mort » : différence entre les versions

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==== [[Ingrid Astier]], ''Angle mort'', 2013 ====
{{citation|citation=Comment pouvait-on accepter la mort de ceux que l’on aime ? La réponse l’avait réconciliée avec la vie, avec cette douleur culpabilisante de leur survivre.</br />
On n’accepte jamais.}}
{{Réf Livre|référence=Angle mort/Gallimard-Folio Policier|page=18}}
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{{Citation|citation=<poem>
Mains ouvertes des morts sous les feuilles de la forêt </poem>}}
{{Réf Article|titre=Le Carreau sans coeurcœur|auteur=[[Annie Le Brun]]|publication=La Brèche|numéro=7|date=Décembre 1964|page=59}}
 
==== [[Paul Léautaud]] ====
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==== [[Giacomo Leopardi]] ====
{{Citation|citation=<poem>LA MORT. ''Finalement, je veux bien croire que tu es ma soeursœur et, si cela peut te faire plaisir, j'y crois plus qu'à la mort même, sans que tu ailles pour autant me rayer de l'état civil! Mais à rester ainsi sans bouger, je vais m'évanouir. Si le coeurcœur t'en dit, essaie de courir à mes côtés, en tâchant cependant de ne pas crever, car je suis plutôt rapide. Tout en courant, tu pourras me dire ce que tu attends de moi; sinon, eu égard à notre parenté, je te promets de te laisser, lorsque je mourrai, la totalité de mes biens.''</poem>}}
{{Réf Livre|titre=Petites œuvres morales [http://books.google.fr/books?id=ADnhlL0ga7kC&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false (texte en ligne)]|auteur={{w|Giacomo Leopardi|Giacomo Leopardi}}|éditeur=Allia|année=1992 pour la traduction|page=25|}}
 
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==== [[Edgar Allan Poe]] ====
{{citation|citation=Le coeurcœur fatigué d'angoisses qui tiraient leur origine du désordre et de la décadence générale, je succombai à la cruelle fièvre. Après un petit nombre de jours de souffrance, après maints jours pleins de délire, de rêves et d'extases dont tu prenais l'expression pour celle de la douleur, pendant que je ne souffrais que de mon impuissance à te détromper, — après quelques jours je fus, comme tu l'as dis, pris par une léthargie sans souffle et sans mouvement, et ceux qui m'entouraient dirent que c'était la ''Mort''.}}
{{Réf Livre|titre=Nouvelles histoires extraordinaires|auteur=[[Edgar Allan Poe]]|traducteur=[[Charles Baudelaire]]|éditeur=Gallimard|collection=Folio Classiques|année=2006|année d'origine=1857|page=288|section=Colloque entre Monos et Una|ISBN=978-2-07-033897-9}}
 
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Siffle, et, fendant les airs, vous frappe sans pardon</poem>
|précisions= La mort}}
{{réf Livre|titre=OeuvresŒuvres poétiques|auteur=[[Paul Verlaine]]|année=1975|éditeur=Jean de Bonnot|tome=7|page=210|vers=1-4|}}
 
{{citation|<poem>
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Au fond d'une tranchée obscure ou d'un talus
Rouler, le crâne ouvert par quelque éclat d'obus.</poem>|précisions=L'apollon de Pont-Audemer.}}
{{réf Livre|titre=OeuvresŒuvres poétiques|auteur=[[Paul Verlaine]]|année=1975|éditeur=Jean de Bonnot|tome=7|page=215|vers=9-14|}}
 
==== [[Romain Gary]] ====
{{citation|citation=Vers le milieu de la nuit, seulement, il pensa qu'il allait mourir. Il ne savait pas comment on meurt. Sans doute un homme meurt-il lorsqu'il est prêt à mourir, et il est prêt lorsqu'il est trop malheureux. Ou bien, peut-être, un homme meurt-il lorsqu'il ne lui reste plus rien d'autre à faire. C'est un chemin qu'un homme prend lorsqu'il n'a plus où aller... Mais il ne mourut pas. Son coeurcœur battait, battait toujours. Il n'était pas plus facile de mourir que de vivre.}}
{{Réf Livre
|titre=Éducation européenne
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==== Yasmina Khadra, ''Ce que le jour doit à la nuit'', 2008 ====
{{citation|citation=Le fait de se réveiller le matin relevait du [[miracle]], et la [[nuit]], lorsqu’on s’apprêtait à dormir, on se demandait s’il n’était pas raisonnable de [[mort|fermer les yeux pour de bon]], convaincus d’avoir fait le tour des choses et qu’elles ne valaient pas la peine que l’on s’attardât dessus. Les [[jour]]s se ressemblaient désespérément ; ils n’apportaient jamais rien, ne faisaient, en partant, que nous déposséder de nos rares illusions qui pendouillaient au bout de notre nez, semblables aux carottes qui font avancer les baudets.}}
{{Réf Livre|auteur=Yasmina Khadra|titre=Ce que le jour doit à la nuit|éditeur=Pocket|année=2008|page=12}}
 
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