« Colette » : différence entre les versions

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{{Réf Livre|titre=Le Blé en herbe|auteur=Colette|éditeur=Flammarion|année=2004|année d'origine=1923|page=54|ISBN=2-08-06-8641-1}}
 
{{Citation|citation=<poem>Philippe ne répondit pas. Il tendait le reste de sa lucidité vers son propre épuisement progressif, et s'attendait à entendre tomber sur le tapis, régulières, étouffées, les dernières gouttes d'un sang qui quittait son coeurcœur.
— Vous l'aimez, n'est-ce pas ?
— Qui? dit-il en sursaut.
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{{Réf Livre|titre=Chambre d'hôtel|auteur=Colette|éditeur=LGF - Le Livre de Poche|année=2004|page=48|ISBN=2-253-05394-5|année d'origine=1940}}
{{Choisie citation du jour|puce=*|année=2010|mois=septembre|jour=15|commentaire=|}}
 
 
{{citation|citation=Une conjecture nous semble unique parce que nous ne sommes pas assez subtils pour discerner qu'elle fait pendant, vêtue de neuf, à un vieux hasard identique…}}
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{{citation|citation=Mais c'est Colette (l'ex-Colette Willy) qui m'intéressait [...]. Vêtue de blanc, en crêpe marocain, elle a l'air d'une enfant qui n'a pas été élevée, qui ne sait pas se tenir, manque tout à fait de réserve, et est amusante quand même et peut-être au fond, bonne fille [...] Drôle de personne ! Si son mari tient au décorum, je le plains [...]. Été déjeuner boulevard Suchet chez les Jouvenel. Un petit intérieur au rez-de-chaussée, avec petit salon tendu de tapisseries et un jardin qui n'est pas grand mais que le soleil de juillet rendait si charmant, avec ses géraniums et ses rose rouges crimson. Maginot, le princesse Marthe Bibesco, les Jacques Porel. Le déjeuner fut abondant et très arrosé. Colette adore les plantes odoriférantes : roses, tubéreuses, gardénias, narcisses etc. et parmi les feuilles, la mélise, la menthe, le géranium rosat, l'absinthe, etc. Elle cueillait de ces feuilles dans son jardin, les pressait pour nous les faire respirer et en offrait à Marthe et à moi [...]. Voici du réséda dit-elle que j'ai mis là et les abeilles sont venues. Colette a des cils peints et des yeux pers (elle) admire Carco, le trouve grand écrivain (elle) a dans la figure, je ne sais quoi de dur, de non épanoui.}}
{{Réf Livre|titre=Journal 1879-1939, le 21 juin et 1er juillet 1922 |auteur=Abbé Arthur Mugnier|éditeur=Mercure de France|année=1982|page=392-395}}
 
 
{{autres projets|s=Auteur:Colette|w=Colette}}