« Germaine de Staël » : différence entre les versions

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[[File:Staël-Gérard.jpg|thumb|270px|<center>''Mme de Staël et sa fille'' — [[w:Marguerite Gérard|Marguerite Gérard]] (1805)</center>]]
 
'''Anne-Louise Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein''', connue sous le nom de '''{{w|Germaine de Staël|Madame de Staël}}''', est née le 22 avril 1766 à [[Paris]] et morte le 14 juillet 1817 à Paris. Elle est la fille de Jacques Necker, ministre des finances du roi de France Louis XVI en 1776, et de la Vaudoise Suzanne Curchod, fille de pasteur. Elle vit dans un milieu d'intellectuels nantis, qui fréquentent notamment le salon de sa mère (Buffon, Marmontel, Grimm, Edward Gibbon, l'abbé Raynal et Jean-François de La Harpe).
 
Sous le nom de M{{me}} de Staël, elle est connue comme romancière et essayiste française d'origine genevoise.
 
 
== D'autres auteurs la concernant ==
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{{Réf Livre|titre=Portraits de Femmes|auteur=[[Charles-Augustin Sainte-Beuve]]|éditeur=Gallimard|collection=Folio Classique|année=1998|année d'origine=1844|page=131|section=Madame de Staël|ISBN=2-07-039493-X}}
 
{{citation|citation=Elle écrivit à quinze ans des extraits de l' ''Esprit des Lois'', avec des réflexions ; à cet âge, en 1781, lors de l'apparition du Compte-rendu, elle adressa à son père une lettre anonyme où son style la fit reconnaître. Mais ce qui prédominait surtout en elle, c'était cette sensibilité qui, vers la fin du dix-huitième siècle, et principalement par l'influence de [[Jean-Jacques Rousseau|Jean-Jacques]], devint régnante sur les jeunes coeurscœurs, et qui offrait un si singulier contraste avec l'analyse excessive et les prétentions incrédules du reste de l'époque. [Mai 1835]}}
{{Réf Livre|titre=Portraits de Femmes|auteur=[[Charles-Augustin Sainte-Beuve]]|éditeur=Gallimard|collection=Folio Classique|année=1998|année d'origine=1844|page=132|section=Madame de Staël|ISBN=2-07-039493-X}}