« Eau » : différence entre les versions
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|w=Eau (homonymie)}}
L’{{w|eau}} est un composé chimique ubiquitaire sur la Terre, essentiel pour tous les organismes vivants connus.
== Littérature ==
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{{Réf Livre|titre=Liberté sur parole|auteur=[[Octavio Paz]]|traducteur=Benjamin Péret|éditeur=Gallimard|collection=Poésie|année=1966|année d'origine=1958|page=162|partie=IV. PIERRE DE SOLEIL (1957)|ISBN=2-07-031789-7}}
==== [[Annie Le Brun]], ''Le Carreau sans
{{Citation|citation=<poem>Là-bas mes félins reviennent avec des charpies d'eau blanche dans la gueule
C'est que je tue
Je tue pour rien, je tue pour rire
Quand la clé tourne mal dans la serrure déliée de mes épaules fracassées.</poem>}} {{Réf Article|titre=Le Carreau sans
==== [[Joyce Mansour]], ''Funéraire comme une attente à vie'', 1964 ====
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==== [[Yasmina Khadra]], ''L’Olympe des Infortunes'', 2010 ====
{{citation|citation=Mille fois la culpabilité lui suggère de marcher dans la [[mer]] jusqu’aux portes du ciel, et mille fois
{{Réf Livre|titre=L’Olympe des Infortunes|auteur=Yasmina Khadra|éditeur=Julliard|année=2010|page=216}}
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{{citation|citation=L'être voué à l'eau est un être en vertige. Il meurt à chaque minute.}}{{Réf Livre|titre=L'eau et les rêves — Essai sur l'imagination de la matière|auteur=[[Gaston Bachelard]]|éditeur=Le Livre de Poche|collection=Biblio Essais|année=1993|année d'origine=1942|page=13|partie=IV|chapitre=Introduction : Imagination et matière|ISBN=978-2-253-06100-7}}
{{citation|citation=Plus qu'aucun autre élément peut-être, l'eau est une réalité poétique complète. Une poétique de l'eau, malgré la variété de ses spectacles, est assurée d'une unité. L'eau doit suggérer au poète une obligation nouvelle : ''l'unité d'élément''. Faute de cette unité d'élément, l'imagination matérielle n'est pas satisfaite et l'imagination formelle n'est pas suffisante pour lier les traits disparates. L'
{{citation|citation=L'examen de l'imagination nous conduit à ce paradoxe : dans l'imagination de la vision généralisée, l'eau joue un rôle inattendu. L'oeil véritable de la terre, c'est l'eau. Dans nos yeux, c'est l'eau qui rêve. Nos yeux ne sont-ils pas « cette flaque inexplorée de lumière liquide que Dieu a mise au fond de nous-mêmes » ? [Claudel, ''L'Oiseau noir dans le Soleil levant''].}}{{Réf Livre|titre=L'eau et les rêves — Essai sur l'imagination de la matière|auteur=[[Gaston Bachelard]]|éditeur=Le Livre de Poche|collection=Biblio Essais|année=1993|année d'origine=1942|page=39|partie=V|chapitre=I Les eaux claires, les eaux printanières et les eaux courantes, les conditions objectives du narcissisme, les eaux amoureuses|ISBN=978-2-253-06100-7}}
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